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...re dans le mix énergétique a été reportée de 10 ans à 2035 : l'échéance de 2025 était irréaliste, et nous avions été nombreux à le souligner au Sénat. Il existe un lien entre industrie et énergie. L'industrie lourde est très consommatrice d'énergie et les territoires se battent pour conserver leurs industries et les électro-intensifs. Or, beaucoup verront leurs contrats de fourniture historique d'électricité arriver à leur terme en 2020 et nous n'avons pas de réponse sur ce point de la part du Gouvernement. L'autre lacune, concerne les transports, pourtant la première cause d'émission des gaz à effet de serre (GES). Or 80 % des transports de marchandises sont effectués par la route. La France possède pourtant des réseaux ferré et fluvial importants. Le Rhône est très bien aménagé, navigable sur des...
L'amendement n° 374 rectifié supprime l'alinéa 16, qui prévoit que lorsque l'installation émet des gaz à effet de serre, l'autorisation d'exploiter peut restreindre le nombre maximum d'heures de fonctionnement par an afin de respecter les valeurs limites d'émissions. De nombreux industriels disposent de chaudières assurant une production modeste d'électricité, généralement autoconsommée. Ils sont déjà assujettis au marché d'échange de quotas d'émissions de gaz à effet de serre et à la directive sur les émissions industrielles.
...nt que les résultats de 2012 ont été exceptionnels. À Lyon, c'est un secret de Polichinelle que l'actionnaire principal espère prendre le contrôle de cette pépite qu'est la CNR. Je regrette que la Ville de Lyon et le conseil général du Rhône se soient retirés de l'actionnariat, qui plus est au plus mauvais moment... Etes-vous favorable à une ouverture du capital ? La CNR, qui vend directement son électricité sur le marché, va-t-elle conserver sa propre salle de marché ou intégrer la branche énergie du groupe Suez ?
Puis, à Mme Elisabeth Lamure qui souhaitait savoir s'il existait de l'énergie perdue lors de l'équilibrage de la production et de la consommation d'électricité, M. Jean-Luc Thomas a indiqué que des pertes de moins d'un pour cent étaient effectivement enregistrées lors du transit de l'électricité, dans les câbles et les convertisseurs de puissance.