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s'est alarmé du différentiel de prix à la production entre agneaux français et néo-zélandais, les premiers étant au moins deux fois plus chers que les seconds. Il l'a attribué au caractère très fortement extensif de l'élevage néo-zélandais, où les exploitations comptent couramment plusieurs milliers de têtes.
a cité l'exemple de son département des Hautes-Pyrénées, où sont vendus, dans les boucheries, des agneaux de Nouvelle-Zélande, sans que leur provenance soit précisée.
ayant suggéré que soit précisée la provenance régionale de l'agneau, M. Emmanuel Coste a indiqué que la filière avait tenté de communiquer, sans grand succès faute d'une mobilisation suffisante des professionnels au niveau national, sur un programme intitulé « Agneau de nos terroirs ».
a estimé que les éleveurs français n'étaient pas payés au juste prix et qu'ils souffraient de la concurrence de l'agneau néo-zélandais, vendu à un prix jusqu'à deux fois moindre.