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Les brasseurs sont prêts à accepter une hausse. Mais cette taxe les touche tous de manière uniforme, ce qui favorise les brasseurs produisant entre 100 et 200 000 hectolitres par an, quand les petits et les très grands brasseurs seront très taxés. Mieux vaudrait, comme le proposent plusieurs amendements, taxer le chiffre d'affaires, en ramenant l'augmentation prévue de 160 % à 80 %.
Plafonnons alors l'augmentation de la taxe sur les dix premiers milliers d'hectolitres à 80 %, au lieu de l'annuler comme le propose l'amendement n° 310.