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Il y a consensus sur le fait que les rythmes sont inadaptés. Les familles y contribuent, les parents du vendredi ne sont pas ceux du lundi - le vendredi, les familles font des projets, en négligeant la fatigue des enfants. La méthode du décret uniforme trouve ses limites. Nous ne pouvons écarter les considérations économiques locales : dans ma région, la pratique des sports d'hiver, ni les conditions de déplacement qui sont, de fait, dif...
Hervé Bazin disait des enfants : tous égaux, tous non pareils. Les difficultés que nous rencontrons ne tiennent-elles pas à la méthode ? Il faut une rupture de méthode, la rue de Grenelle doit passer de la logique de la circulaire à celle de la consultation. Les rythmes scolaires doivent-ils être découplés d'autres rythmes, y compris, en montagne, ceux de la météo ?
Hervé Bazin disait des enfants : tous égaux, tous non pareils. Les difficultés que nous rencontrons ne tiennent-elles pas à la méthode ? Il faut une rupture de méthode, la rue de Grenelle doit passer de la logique de la circulaire à celle de la consultation. Les rythmes scolaires doivent-ils être découplés d'autres rythmes, y compris, en montagne, ceux de la météo ?
Il est important d'écouter non seulement la communauté éducative et les parents, mais aussi les acteurs économiques. Il y a des rythmes biologiques, il y a aussi les rythmes économiques. Je suis prêt à organiser une rencontre dans mon département, très touristique, pour sensibiliser à la question du zonage.
Il est choquant que l'on doive rappeler que c'est l'intérêt de l'enfant qui doit primer. Les rythmes scolaires sont-ils le principal facteur d'échec de notre système éducatif ? Notre école, a-t-on remarqué, va bien pour les enfants qui sont doués. L'intérêt de l'enfant peut-il être déconnecté de celui de la famille, des collectivités territoriales ou de l'économie ? Si le retour à 4,5 jours fait consensus, pourquoi un tel tollé ? N'est-ce pas un problème de méthode ? On veut imposer par circul...
...ieur le ministre – et l’interdiction du redoublement en milieu de cycle. Je précise que c’est particulièrement vrai pour les petites classes, durant lesquelles s’effectue l’apprentissage de la lecture, qui doit être une priorité nationale. S'agissant tout d’abord de l’individualisation des enseignements, nous partageons tous, sur l’ensemble de ces travées, l’idée que chaque élève n’a pas le même rythme d’apprentissage. En conséquence, l’enseignement doit prendre en compte le rythme d’apprentissage de l’élève. L’idée du cycle, dans les petites classes, c’est exactement cela. Le cycle doit permettre à chaque élève de progresser à son rythme, afin que, à terme, chaque élève sache lire, écrire et compter. Cependant, mes chers collègues, comment voulez-vous prendre en compte les différences de ryt...