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l’heure de la mondialisation des échanges. Il nous appartient d’établir une stratégiepersonnels concernés par cette réforme. Personne, je le crois, ne nie sa nécessité.ces dernières années. Alors que l’on enregistre une augmentation globalecommerce maritime européen. Ce pourcentage n’est pas rassurant et lesl’Amérique du Nord. Tout comme moi, vous connaissez les effets decette évolution. Ainsi, dans le classement mondial, Le Havrepointe au trente-sixième rang et Marseille ne se situe qu’à la soixante-dixième position. Ce recul est d’autant plus dramatique qu’ilportuaire s’effectue par conteneurs. En citant ces chiffres, mes chers collègues, je ...
...gesiras. Les montants importants qu’ont accepté d’investir dans ces ports européens les opérateurs privés, qu’il s’agisse d’équipements, d’outillages ou de moyens de stockage, ne se sont pas substitués aux investissements publics auxquels je viens de faire référence. Le secteur public intervient notamment sur les infrastructures, les digues et les quais, sur les dessertes terrestres ou les accès maritimes, qui, ici comme ailleurs, restent publics. Je comprends que l’on cherche à encourager les investissements privés dans nos ports. Je n’y suis pas opposé, car l’investissement privé crée la richesse et, par conséquent, l’emploi. Je comprends aussi que l’on s’efforce de sécuriser les conditions dans lesquelles ils peuvent être réalisés. En revanche, je ne comprends pas pourquoi ce texte, depuis si...