56 interventions trouvées.
A quoi Aviesan Sud sert-il ou a-t-il servi ?
Comment cette coordination s'articule-t-elle dans le domaine de la recherche avec les équipes de recherche du Sud ? Comment les objets de recherche sont-ils choisis ?
Les demandes viennent-elles plutôt du Nord ou du Sud ? S'agit-il de rencontres, au gré des recherches ?
L'Inserm travaille-t-il davantage avec des instituts de recherche et des universités du Sud ou plutôt avec des chercheurs isolés ? Les partenariats sont-ils effectués avec l'institution, au niveau national ?
Ces deux approches peuvent pourtant être complémentaires : la vôtre, la recherche de l'excellence au niveau mondial, qui s'inscrit dans la compétition mondiale et une autre approche, de recherche en coopération, pour et par le développement, afin de faire émerger les équipes du Sud.
Les instituts spécialisés tels que l'IRD relèvent d'une double tutelle, avec lesquelles ils sont censés travailler. Quelle est votre analyse de cette double tutelle entre la recherche et les affaires étrangères ? La recherche pour le développement est censée doter les populations du Sud des outils propres à leur développement, s'inscrire dans les politiques dites de renforcement des capacités. Comment analysez-vous la coopération de deux tutelles ministérielles à ce titre ?
Quelles relations entretenez-vous directement ou indirectement avec les chercheurs du Sud ? Vous laissez vos partenaires mettre en oeuvre les actions, sans interférer : est-ce la même chose par rapport à la recherche ? Comment envisagez-vous le lien partenarial avec les chercheurs et les équipes du Sud ?
Je vous prie d'excuser le président de la mission commune d'information, M. Henri de Raincourt. Notre MCI questionne l'action extérieure de la France en matière de recherche pour le développement. Nous nous intéressons en particulier aux partenariats avec les chercheurs du Sud et avec leurs institutions de recherche, au sens large. Quels sont les objectifs du CNRS hors de France ? Quelles relations entretenez-vous avec les chercheurs du Sud ?
Pourquoi n'y a-t-il pas d'actions de structuration en Afrique du Sud ?
Comment les partenariats avec les pays du Sud naissent-ils ?
En résumé, faites-vous plutôt, vis-à-vis des pays du Sud, de la coopération scientifique, de la recherche pour le développement, ou de la recherche internationale ?
Les acteurs de la coopération scientifique ou de la recherche pour le développement des pays du Sud sont-ils complémentaires, ou existe-t-il entre eux une certaine concurrence ?
L'IDDRI entretient-elle des partenariats spécifiques dans les pays du Sud ? Quelles sont vos réussites et vos regrets dans ce domaine ?
Quelles actions souhaitez-vous mener en aval de la recherche sur les politiques publiques des pays du Sud ? Ensuite, vous dites ne pas être convaincue par l'AIRD : mais quelle est alternative, puisque l'ANR ne finance aucune équipe du Sud ?
Avez-vous des pistes pour intégrer davantage l'AFD à cette valorisation de la recherche dans les pays du Sud ?
Nous nous intéressons à la recherche pour le développement dans les pays du Sud, émergents ou plus démunis. Quels contours et enjeux voyez-vous à cette recherche pour le développement ?
Ces pistes sont intéressantes. Disposez-vous d'exemples de bonnes et de mauvaises pratiques de partenariats de la France avec des pays du Sud ?
Les résultats sont-ils déterminés de façon bilatérale, en fonction des besoins définis par les politiques nationales des pays du sud, ou multilatérale, à l'occasion de conférences internationales ?
Que deviennent les étudiants venus des pays du Sud ? Sait-on combien de temps ils restent en France ? S'ils acquièrent une expérience professionnelle, ou plusieurs, hors de leur pays d'origine ? Quelles sont les conditions qui favorisent ou font obstacle à leur retour ?
La protection du potentiel scientifique et technique de la Nation représente-t-elle une contrainte pour les chercheurs qui travaillent en partenariat avec des équipes du Sud ?