2 interventions trouvées.
a indiqué que la politique d'immigration du gouvernement, qu'il a qualifiée de politique du chiffre, portait un préjudice considérable au rayonnement de la France à l'étranger, et en particulier en Afrique. Il a demandé que la commission puisse auditionner les responsables de cette politique.
Si l'on ne peut qu'être d'accord, me semble-t-il, avec les dispositions du premier alinéa de l'article 8, il n'en va pas de même, en revanche, avec celles du deuxième alinéa, selon lequel, après en avoir informé les autorités responsables - pourquoi pas ? -, le contrôleur général des lieux de privation de liberté peut rendre publics ses avis, recommandations ou propositions, ainsi que les observations de ces autorités si elles en font la demande. Si je comprends bien, il faut donc que les autorités visées donnent leur accord à la publication de leurs observations : je trouve qu'il s'agit là d'une restriction n'ayant pas de raison...