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indiquant qu'il avait eu l'occasion de suivre les travaux de la conférence de Copenhague, a estimé que celle-ci, bien loin d'être un simple sommet environnemental, a acquis une dimension géostratégique en posant la question du positionnement commun de l'Union européenne et de la gouvernance écologique mondiale. Il a permis de s'interroger sur les modes de production et de consommation qui devront prévaloir dans les années à venir. Compte tenu des responsabilités historiques de l'Occident en matière de changement climatique, il est aujourd'hui difficile de donner des leçons aux pays émergents. Il appartient à l'Union européenne de proposer, au niveau international, une répartition plus équitabl...
Cela étant, la question dont nous débattons n’est peut-être pas tout à fait nodale par rapport au défi écologique qui est devant nous. De toute manière, je suis persuadé que l’Histoire tranchera et que, en cas de rejet de mon amendement par le Sénat, le dispositif se mettra tout de même en place sur le terrain – peut-être sans nous, hélas ! –, car c’est tout simplement le bon sens !