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Interventions sur "CNDS" de Michel Le Scouarnec


4 interventions trouvées.

Je vous rejoins sur le rôle de l'État et du CNDS. Il ne faut toutefois pas oublier les zones rurales. L'État doit viser un développement harmonieux des territoires et notre rôle de parlementaires est d'y veiller. Les crédits du CNDS n'appartiennent pas aux grandes villes. Le sport amateur concerne des millions de gens, et pour assister à des grands événements sportifs ou culturels, les habitants des petites communes doivent faire beaucoup de ki...

Je vous rejoins sur le rôle de l'État et du CNDS. Il ne faut toutefois pas oublier les zones rurales. L'État doit viser un développement harmonieux des territoires et notre rôle de parlementaires est d'y veiller. Les crédits du CNDS n'appartiennent pas aux grandes villes. Le sport amateur concerne des millions de gens, et pour assister à des grands événements sportifs ou culturels, les habitants des petites communes doivent faire beaucoup de ki...

Vos priorités nous conviennent en particulier à propos du service civique, si nécessaire pour le développement de la citoyenneté de notre jeunesse et de la lutte contre les inégalités, y compris territoriales. Quant au CNDS, les collectivités locales attendent beaucoup du sport et y investissent énormément. Vos priorités sont bonnes, et je n'exprimerai qu'un regret : avec quelques millions de plus, votre budget serait parfait ! Il devrait augmenter de même façon que le rôle du sport dans notre société. J'ai rencontré les syndicats du ministère des sports et je tiens à attirer votre attention sur les crédits du progr...

...rent beaucoup d’argent à la construction d’équipements, à leur entretien, à leur fonctionnement, et versent des subventions à de nombreux clubs, qui ne pourraient exister sans ce soutien. Ainsi, Auray, ma commune, consacre chaque année plus de 600 000 euros aux sports au titre des seules dépenses de personnel et d’entretien, hors investissements, alors qu’elle ne compte que 13 000 habitants ! Le CNDS, opérateur de l’État non pris en compte dans le budget de la mission, est, quant à lui, doté de 295, 8 millions d’euros, soit un montant supérieur à celui des crédits du ministère. Son action masque le désengagement de l’État, sans qu’il soit pour autant trop doté au regard de ses missions, car il met en œuvre, de fait, l’intégralité de la politique en matière de développement du sport amateur et...