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a rappelé que l'OPEPS avait effectivement fait le choix de centrer son étude sur la prise en charge précoce des AVC et sur les soins aigus, en raison de l'ampleur qu'aurait prise une étude portant sur l'ensemble de la filière de prise en charge et sur les économies entraînées au niveau des soins de rééducation, par la réduction des séquelles obtenues à la phase précoce.
...illot dans une artère cérébrale, la thrombolyse médicamenteuse devant être administrée dans les trois heures qui suivent la constitution du caillot. Pour ces motifs, il est nécessaire de veiller à l'implantation des appareils d'imagerie à résonance magnétiques (IRM) sur l'ensemble du territoire, ceux-ci étant les seuls équipements permettant d'établir un diagnostic différentiel sur la nature de l'AVC et de distinguer l'obstruction d'une artère cérébrale de l'existence d'une hémorragie, dont le traitement est totalement différent.
Pour conclure, le président Pierre Méhaignerie, député, et M. Nicolas About, sénateur, vice-président, ont insisté sur l'ampleur du problème que posent les AVC, qui concernent 27 000 personnes de moins de soixante ans, dont le risque augmente de façon exponentielle avec l'âge et qui représenteront un coût de plus en plus important du fait du vieillissement de la population. A l'issue de ce débat, l'office a autorisé le dépôt du rapport d'information en vue de sa publication.
a constaté que le projet prévoit d'ores et déjà une analyse du registre dijonnais des AVC et des schémas régionaux d'organisation sanitaire (Sros).
a rappelé que l'objet central de cette étude doit être de proposer des pistes pour améliorer la prise en charge des victimes d'AVC, notamment pour assurer un traitement adapté dans un délai de trois heures après l'incident.