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a souhaité savoir comment le contrat passé en février 2005 relatif au vaccin contre la grippe H5N1 s'est transformé, en 2009, en un marché d'acquisition de vaccins contre la grippe H1N1 et a demandé le montant du chiffre d'affaires réalisé en France par les laboratoires au titre de la vaccination contre la grippe H1N1.
a suggéré que l'indemnisation du préjudice résultant des résiliations de commandes soit financée par une taxe acquittée par l'ensemble de l'industrie pharmaceutique, ce qui permettrait de mutualiser les pertes subies et correspondrait à une démarche de solidarité. Il a souhaité avoir des précisions sur les gaspillages de vaccin résultant de l'utilisation de conditionnements multidoses. A propos de l'organisation de la vaccination, il a déploré certaines erreurs dans la gestion des ressources humaines, telle la réquisition d'étudiants en pleine période d'examens, erreurs qui n'ont sans doute pas favorisé l'adhésion des professions médicales à la campagne de vaccination. Il a par ailleurs noté que si l'épidémie avait été ...
a salué la réactivité de l'industrie pharmaceutique face à la pandémie grippale et la responsabilité des responsables de laboratoire qui admettent que le contrat signé avec l'Etat peut être résilié pour des motifs d'intérêt général. Il s'est demandé si le Gouvernement n'aurait pu résilier plus tôt les commandes excédentaires de vaccins, compte tenu de l'évolution de l'épidémie et des conditions de déroulement de la campagne de vaccination. Il a souhaité connaître le montant, pour chaque laboratoire, de la perte résultant des résiliations de commande.
a rappelé que la recommandation vaccinale existe déjà pour les personnes en provenance de zones où la tuberculose est endémique. Le sujet mérite toutefois d'être discuté en séance publique.
a souhaité que, lors de la conférence de presse, le rapporteur puisse présenter quelques chiffres-clés sur les vaccins obligatoires et recommandés ainsi que des statistiques sur les maladies qu'ils permettent d'éviter. Le président Pierre Méhaignerie, député, a proposé que soit également mentionnée l'alerte récemment lancée sur le risque d'épidémie de grippe redouté pour cet hiver. a estimé que la limite de ce type d'annonce est de démobiliser les Français si le risque ne se réalise pas. On a vu l'exemple de l...
a rappelé que le vaccin lui-même est également coûteux et a estimé qu'une comparaison bénéfice-coût du vaccin antigrippal permettrait d'en mesurer l'intérêt. L'incohérence du discours public sur l'utilité des vaccins a aussi été constatée pour le BCG.
a déclaré partager ce constat, qu'il a étendu au vaccin contre la variole et à celui contre la rougeole. Il a déploré que la survenance de quelques cas d'effets secondaires, le plus souvent anodins, découragent les Français de se faire vacciner contre des maladies qu'ils pensent, à tort, disparues. A l'issue de ce débat, l'Opeps a approuvé les conclusions de son rapporteur et autorisé la publication de ce rapport.
a partagé ce constat. L'absence d'enseignement sur les techniques de vaccination intradermiques est, à son avis, l'une des causes de l'abandon de l'obligation vaccinale par le BCG, dont les médecins ne maîtrisent qu'imparfaitement les nouvelles modalités d'injection.
a indiqué que tel est notamment le cas du vaccin antigrippal. Bien que le Parlement ait rendu cette vaccination obligatoire pour les professionnels de santé, le Gouvernement a décidé de surseoir à cette mesure, ce qui peut laisser penser que ce vaccin est inefficace.
a estimé, pour sa part, que l'axe premier serait d'améliorer la cohérence du discours officiel sur la balance bénéfice-risque des vaccins et les recommandations. Il s'agit également de valoriser la compétence des professionnels de santé dans ce domaine.
a dénoncé l'inaction du Gouvernement dans ce domaine. Il a rappelé qu'il avait pris l'initiative d'un amendement imposant au personnel de santé d'être vacciné contre la grippe, dûment voté par le Parlement, mais que le Gouvernement, soucieux de ne pas se fâcher avec les professionnels de santé, avait ensuite publié un décret suspendant l'application de cette obligation.
en a convenu, ajoutant que les médecins sont également déstabilisés par des modes de vaccination rendus sans cesse plus complexes.
s'est interrogé sur les moyens alloués par les pouvoirs publics pour soutenir la recherche en faveur de vaccins jugés non rentables.
a souhaité que soit évoquée la question des capacités de production de vaccins en France.
a souhaité savoir si le fait que la sécurité sociale rembourse un certain nombre de vaccins fait de la France un cas particulier.
a fait valoir qu'il est important, dans le cadre du projet de loi de financement de la sécurité sociale, de disposer d'une veille portant sur tous les inconvénients qui découlent des vaccins. Il a demandé s'il existe une banque de données réellement opposable, qui permettrait de définir une politique de la vaccination plus efficace. Il a également souhaité savoir s'il existe une politique de vaccination des personnes immigrées.
s'est étonné de la couverture vaccinale moyenne de la France, alors qu'il s'agit de l'un des pays les plus contraignants en matière d'obligation vaccinale.
a constaté la meilleure pénétration des vaccins dans les autres pays.
a indiqué que l'étude de l'Opeps sur la politique vaccinale de la France devra s'attacher à déterminer les résultats sanitaires des actions menées, l'efficacité de la politique actuelle au regard des nouvelles pathologies et des risques sanitaires inédits, la capacité de la recherche et de l'industrie pharmaceutique françaises à découvrir et à produire de nouveaux vaccins et les moyens de renforcer la politique de vaccination et son suivi dans le respe...
a estimé que l'étude de l'Opeps pourra également utilement faire état de l'impact, sur la survenance d'infections nosocomiales, du refus de certains professionnels de santé de se faire vacciner.