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Interventions sur "filiale" de Nicole Bricq


4 interventions trouvées.

...ojet flou ; c’est tirer un trait sur les inquiétudes de 110 000 salariés quant à leur statut et à leur emploi ; c’est donner un chèque en blanc à une gouvernance dont la tête pensante et parlante dispose d’une faible légitimité pour conduire dans la tempête ce qui nous est présenté comme étant pour demain le deuxième groupe français bancaire. Certes, il faut sauver le soldat CEP/BP plombé par la filiale Natixis…

Ces 34 milliards d’euros sont le fait de provisions et de dépréciations constatées, de produits toxiques, d’actifs invendables. Le tout a coûté 1, 9 milliard d’euros au premier trimestre 2009, et rien ne dit que de nouvelles pertes ne seront pas enregistrées au deuxième trimestre. L’État s’est porté au secours de la filiale, pour en relever le ratio de solvabilité, mais – chacun s’accorde à le dire – cela risque de ne pas suffire. Le risque Natixis a été cantonné. Toutefois, Mme la ministre de l’économie et des finances nous a affirmé, lors de son audition par la commission, que, en cas de nouvelles dégradations, d’autres options pourraient être envisagées, notamment le recours au marché ou à une structure de type ...

...utôt qu'une déconnexion totale des considérations nationales. Il a poursuivi sa démonstration en qualifiant le groupe de « multi-patriote », en prenant l'exemple du soutien aux entreprises françaises. Réfutant la qualification de « groupe opportuniste », évoqué par une question de Mme Nicole Bricq, il a tenu à rappeler que le groupe était doté d'une stratégie globale qui inspirait l'ensemble des filiales du groupe. Mais, mettant l'accent sur le caractère local du métier de banquier dans un cadre multi-géographique, il a insisté sur la nécessité du groupe de respecter la diversité culturelle de l'entreprise.

souhaitant connaître le degré de décentralisation de la filiale française par rapport au siège, a interrogé M. Charles-Henri Filippi sur la marge de manoeuvre d'HSBC France en matière d'investissement. En réponse, M. Charles-Henri Filippi, président-directeur général de HSBC France, a indiqué qu'il détenait le pouvoir de décision dans la limite de 100 millions d'euros de crédits, et qu'au delà, une vérification du dossier, qui ne donnait pas lieu à une nouvel...