Photo de Pierre Mauroy

Interventions sur "israël" de Pierre Mauroy


4 interventions trouvées.

a considéré que le régime nord-coréen méritait des sanctions. Il a invité le ministre à la fermeté face à Israël qui manifeste son indifférence face aux positions françaises et européennes. Face à une politique israélienne détestable et à un changement de l'administration américaine qui a pris des positions courageuses, il est nécessaire de s'exprimer clairement.

a estimé que la crise palestinienne était un facteur central de déstabilisation du Moyen-Orient. Le Hamas semblant prisonnier de sa récente victoire à Gaza, il s'est interrogé sur la possibilité, pour les Palestiniens, de retrouver un semblant d'unité, et a estimé qu'une telle issue ne pourrait advenir qu'à long terme. Il a jugé qu'Israël devait faire des avancées marquantes envers la Cisjordanie en matière d'allègement des contrôles, de libération de prisonniers et de réduction des troupes d'occupation, éléments qui pèsent sur les populations palestiniennes. Ces dernières pourraient ainsi retrouver un peu d'espoir dans l'avenir. Il a déploré que la politique israélienne semble manquer de souffle.

...Il permet aussi d'envisager l'avenir et de rechercher des solutions de paix, dans un contexte qui s'est radicalisé depuis les terribles attentats du 11 septembre, dont nous avons célébré hier douloureusement le cinquième anniversaire. J'exprime à cet instant ici ma sincère compassion pour le peuple américain. Permettez-moi quelques mots de rappel sur la nouvelle guerre du Liban. La guerre entre Israël et le Hezbollah a été déclenchée le 12 juillet, à la suite de l'enlèvement, revendiqué par le Hezbollah, de deux soldats israéliens. Israël engage aussitôt la riposte, à la fois pour ramener ses soldats, mais aussi pour tenter de mettre un terme aux tirs de missiles incessants du Hezbollah sur le nord du pays. Très vite, devant l'intensification et la violence des combats, les socialistes françai...

...oi d'un contingent de 2.000 hommes, qui constitue le nécessaire soutien à la démarche diplomatique qu'il a conduite. Il a souligné que le mandat confié par l'ONU à la FINUL conduirait à une mission longue et difficile, d'autant plus que le Liban se trouve au coeur des tensions régionales et au coeur de l'affrontement entre l'Orient et l'Occident. Il a appelé à la levée rapide du blocus imposé par Israël et estimé par ailleurs qu'on ne pouvait pas faire abstraction de la Syrie pour le règlement des crises dans cette partie du monde. Il a enfin interrogé la ministre sur les chances de succès de deux des missions confiées à l'armée libanaise, le désarmement du Hezbollah et le contrôle de la frontière libano-syrienne.