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a déclaré que ce sommet avait montré la place importante qu'occupe notre pays en Méditerranée et que l'avenir trancherait sur sa destinée. En dépit des retrouvailles syro-libanaises, qu'il faut porter au crédit du sommet de Paris, il a regretté que certains dossiers lourds n'aient pas été évoqués, comme l'impasse au Sahara occidental. En outre, la déclaration ne mentionne pas le droit des Palestiniens à avoir un Etat. Il a souhaité que l'on tire davantage les leçons de l'échec du processu...
s'est interrogé sur la réaction de la Turquie. En réponse, M. Alain Le Roy a précisé qu'il avait fallu préciser plusieurs fois que l'Union pour la Méditerranée ne constituait pas un substitut à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne. La déclaration de Rome, adoptée conjointement par l'Italie, la France et l'Espagne le 20 décembre 2007, était du reste parfaitement claire de ce point de vue. Il a également souligné que le vote du Sénat dans la réforme constitutionnelle en cours, de même que l'appel téléphonique personnel du Président de la Républi...
a salué l'initiative d'Union pour la Méditerranée et a souligné l'urgence de remettre cette zone au coeur du débat. Il a considéré cependant que tous les enseignements n'avaient pas été tirés de la superposition d'une série de dispositifs dans la région (processus de Barcelone, 5 + 5, Forum Méditerranée, politique de voisinage...). Il a noté le décalage entre l'opinion des chefs d'Etat et le scepticisme des opinions publiques arabes qui ont vécu...