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... mise en place du plan ? Aucun établissement ne doit fermer. Pouvez-vous vous y engager ? Il faut absolument éviter une augmentation des frais de scolarité pour l'année prochaine. Quelle est votre position sur le sujet ? En ces temps incertains, nous pensons qu'un communiqué du Président de la République engageant fermement la volonté de la France à maintenir un réseau scolaire de qualité à l'étranger devrait être adressé à chaque famille par e-mail. Ce serait un facteur rassurant pour les parents.
Je voudrais revenir sur la question de l'AEFE. En fin d'année, nous risquons de faire face à de très grandes difficultés, de nombreux parents d'élèves étrangers décidant de retirer leurs enfants. Partout, je vois des parents inscrire leurs enfants dans des écoles locales, car les mesures prises ne leur semblent pas suffisantes pour maintenir le bon fonctionnement de l'AEFE. André Vallini et moi-même, tous deux rapporteurs pour avis des crédits du programme « Diplomatie culturelle et d'influence », avons voulu interroger le directeur de l'AEFE. On nous ...
À mon tour d'adresser mes félicitations à toutes les équipes. Je souhaite appeler l'attention sur l'avenir de l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger (AEFE). Je sais que différentes réunions sont prévues à ce sujet, mais cela peut intéresser les membres de notre commission, car il s'agit d'un fantastique réseau à l'étranger pour la diplomatie et pour les Français l'étranger. En revanche, je crains que l'AEFE ne se retrouve en très grande difficulté en septembre et octobre prochains, car de nombreux parents étrangers disent hésiter et envisag...
Ce PLF 2020 augmente principalement les moyens de l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger (AEFE), tant pour rattraper son retard que par nécessité. Il vise à mettre en oeuvre le projet annoncé par le Président de la République lors de la Conférence des ambassadeurs. Pour doubler le nombre d'élèves avec les structures existantes, il faudra des moyens supplémentaires. Depuis trente ans - cela fait vingt-deux ans que je suis sénateur - j'entends parler de coopération entre les ministres ...
Les instruments de la diplomatie culturelle et d'influence sont actuellement un chantier de réflexions multiples, encore inabouties. Un rapprochement de l'Institut français et de la Fondation alliance française est en cours. Une réforme de l'enseignement français à l'étranger est évoquée. La diplomatie économique est, elle aussi, en transformation, avec la mise en place de « guichets uniques », et un possible rapprochement entre les opérateurs Business France et Atout France, qui suscite des interrogations. Le Président de la République veut imprimer sa marque sur la diplomatie culturelle. Il a présenté, le 20 mars dernier, à l'Académie française, un plan ambitieux ...
Je partage aussi l'analyse de Richard Yung. La question de la sécurité doit être une priorité absolue. En 2019, les crédits de sécurisation passent de 14,7 millions d'euros à 18 millions d'euros. Cela ne répond pas à toutes les interrogations. Beaucoup d'écoles sont effet louées, ou prêtées par des États étrangers. Comment seront-elles sécurisées ?
Le nombre d'instituts français est stable en 2018. Celui de Naplouse est confronté à des problèmes de sécurité, de taux de fréquentation... les problèmes sont plutôt matériels que politiques. Nous espérons la réouverture de cet établissement. L'augmentation du prélèvement sur les établissements français à l'étranger est coûteuse pour les parents d'élèves. Certaines écoles ont des difficultés financières importantes. Nous serons attentifs à ce que le taux de la participation financière complémentaire sur les frais de scolarité soit en effet abaissé, comme on nous l'a indiqué. J'approuve les propos d'Olivier Cadic. Il faut établir un plan pour parvenir à l'objectif de doublement des effectifs. Quant à l'ANE...
...e 185, allions poser... Ainsi, les Alliances garderont leur indépendance : vous nous rassurez. Mais le budget de l'Institut n'augmentant pas, le niveau de service ne sera pas amélioré et la mise en place du plan en faveur de la langue française et du plurilinguisme sera fragilisée. Le président de la République a souhaité que l'on passe de 350 000 à 700 000 élèves dans les lycées français à l'étranger, soit. Les élèves supplémentaires seront majoritairement étrangers, ce qui est très bien, mais il y aura tout de même des élèves français de familles à revenus modestes, éligibles à des bourses. Pour répondre à cette demande, les 105 millions d'euros, même augmentés à 110 millions grâce à la soulte, ne suffiront pas. On nous dit que la mobilité des chercheurs de haut niveau est freinée par des p...