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Interventions sur "ONU" de Robert del Picchia


10 interventions trouvées.

...n matière de contributions volontaires, nous sommes en effet classés très loin, mais c'est un classement quelque peu réducteur : il suffirait d'ajouter 500 000 euros ou 1 million d'euros pour gagner cinq ou dix places d'un coup ! S'agissant de la lutte contre le terrorisme, il n'existe toujours pas de définition du mot qui soit acceptée par tous, mais, depuis peu, l'Union interparlementaire et l'ONU coopèrent dans le cadre d'un programme impliquant une trentaine de pays. Les Chinois interviennent dans le financement de cet effort pour disposer, à terme, d'une place importante. Ce projet doit durer quatre ans et coûter 6 millions de dollars. L'ONU en finance la moitié et la Chine avance 2 millions de dollars. C'est ainsi que les Chinois parviennent à se placer. De la même manière, ils ont mis...

...rêt à rencontrer des personnes appartenant à Daech ? Peut-être faudra-t-il un jour négocier avec eux... Par ailleurs, j'ai beaucoup apprécié l'expression d'« Ebola politique » que vous avez employée. On a appris hier que le virus décroît désormais, grâce à l'intervention massive de la communauté internationale. Celle-ci, en Syrie, ne peut-elle s'engager davantage politiquement, sous l'égide de l'ONU ? N'est-ce pas nécessaire si l'on veut régler le conflit ? Un espoir est-il encore possible ?

...ns pas attention, on oubliera bientôt le Sahel et que les mêmes difficultés recommenceront, au Mali ou ailleurs. Vous avez évoqué un plan de développement. Les industriels, désireux de s'implanter autour de projets énergétiques, en particulier l'énergie solaire avec un projet franco-américano-allemand, ont besoin de sécurité. Il faut donc une garantie internationale. Ce pourrait être le rôle de l'ONU, de l'Union africaine ou de la CEDEAO.

Comme chaque année, une délégation de notre commission s'est rendue aux Nations unies à l'occasion de l'Assemblée générale. Le séjour est occupé de manière dense par un ensemble de rencontres avec les ambassadeurs, représentants permanents de leurs pays auprès de l'ONU, et avec les principaux responsables de l'ONU. Le programme du séjour de notre délégation vous a été distribué. Le très grand intérêt de ces missions consiste en la juxtaposition des analyses et des positions des différents pays ou acteurs intervenant au sein de cet outil irremplaçable du multilatéralisme qu'est l'ONU, en dépit de ses défauts et de ses faiblesses. Elles permettent aussi de juge...

Nous nous sommes bien évidemment entretenus avec le représentant palestinien à l'ONU, M. Riyad Mansour, ainsi qu'avec l'ambassadeur, représentant permanent d'Israël, M. Ron Prosor. Ces entretiens permettent de mesurer le fossé entre les deux protagonistes. De fait, les chances de réussites sont minces tant la confiance est profondément ébranlée entre les parties. Il est évident que la politique du gouvernement israélien sur les colonies s'inscrit dans ce qui est un projet délib...

Quelles conclusions pouvons-nous tirer de ces quelques jours à l'ONU ? La première est que ces déplacements de notre commission sont indispensables. Ils nous permettent de nous informer aux diverses sources de premier ordre qui sont rassemblées à l'ONU sur les grandes problématiques mondiales. La seconde est que le « machin » fonctionne de manière assez satisfaisante en dépit de ses faiblesses, de sa lourdeur administrative et de ses difficultés à se réformer. ...

s'est interrogé sur la réelle capacité de l'ONU de gérer les multiples conflits dont elle est chargée. Il s'est félicité du retour du soutien des Etats-Unis, estimant cependant que l'ONU semblait arriver à la limite de ses capacités, comme en témoigne, par exemple, la présence au Congo-Brazzaville de près de 100 000 réfugiés venus de la République démocratique du Congo voisine, dont la présence est déstabilisante.

S'agissant des opérations de maintien de la paix, M. Robert del Picchia a fait remarquer que l'un des problèmes qu'elle pouvait rencontrer tenait au fait que l'ONU ne payait pas directement les soldats des contingents mis à sa disposition, mais les Etats. a souligné la grande compétence de l'administrateur du PNUD, mais il a relevé que le plan stratégique qu'il avait présenté avait été repoussé par les pays du Sud, ce qui entraînait une certaine fragilisation de cet organisme.

a estimé qu'il serait opportun de renforcer l'armée libanaise pour lui permettre de remplir ses difficiles missions de contrôle de la frontière syro-libanaise et de désarmement du Hezbollah. Il a souligné que la crédibilité des actions de maintien de la paix décidées par l'ONU découlerait étroitement de l'éventuelle réussite de cette FINUL renforcée.