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Monsieur le secrétaire d’État, ma question est relative aux droits des citoyens figurant dans l’accord de retrait, qu’il s’agisse des citoyens de l’Union européenne établis au Royaume-Uni ou des Britanniques établis dans l’Union européenne. Je pense en particulier aux Français qui vivent au Royaume-Uni. Selon le registre des Français établis hors de France, ils sont plus de 144 000. Toutefois, l’inscription au registre n’étant pas obligatoire, l’estimation réelle de la présence française au Royaume-Uni se situe plutôt entre 200 000 et 250 000 Français. Pour préserver leurs droits, il est nécessaire...
...ous dites avoir bénéficié de suffisamment d'opportunités pour porter le message des industriels. On ne peut que s'en réjouir. Qu'en est-il du résultat ? Suffit-il d'avoir été entendu ? Certains éléments me semblent contradictoires. D'un côté, le Brexit a donné lieu à une diminution de 0,2 % du PIB en Europe, de l'autre le Premier ministre se félicite d'une augmentation de 33 % des investissements britanniques en France pour la même année. Pourriez-vous nous préciser la situation ?
Ma question concerne le Brexit et la défense européenne. « Le Brexit est bien davantage qu’une simple affaire commerciale, c’est aussi une question de sécurité. » Wolfgang Ischinger et Stefano Stefani s’exprimaient en ces termes, en décembre 2017, lors de la conférence de Munich sur la sécurité, en rappelant par ailleurs que les capacités militaires britanniques représentent entre 25 % et 30 % des capacités totales de l’Union européenne. Peut-on raisonnablement s’en passer ? Tout le monde convient que le degré de coopération entre Bruxelles et Londres sur les questions de sécurité et de défense doit être le plus élevé possible. Oui, mais comment faire, concrètement ? Les Britanniques proposent, dans le Livre blanc sur les relations futures entre le Roy...