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... la faillite, son quotidien s’ensauvage, son ministre de l’économie déclare être « à l’euro près » : le premier pays « tiers-mondisé » que la France devrait aider, c’est précisément la France ! Les crédits de paiement de cette mission d’aide publique aux pays en développement connaissent cependant une hausse de 16 % pour l’année à venir. Sans renoncer à notre politique d’influence humanitaire à l’étranger et à un nécessaire soft power à la française, nous devrions ajuster ce budget au contexte national de tension financière exceptionnelle. Il m’est impossible de soutenir le projet contesté d’un nouveau siège pour l’Agence française de développement, qui coûterait 1 milliard d’euros au contribuable français. Cette somme, c’est précisément ce qu’Emmanuel Macron a refusé d’investir en 2019 po...
...té de notre territoire en contrôlant les trafics et les flux humains bien en amont. Elle doit être conditionnée à l’acceptation automatique, par les États bénéficiaires, de leurs étrangers expulsés de notre territoire national. N’ayant pas de consignes claires quant à la conduite à tenir, l’AFD ne se soucie pas de soutenir les entreprises et l’industrie françaises lorsqu’elle finance un projet à l’étranger. C’est tout à fait déplorable ! En outre, le Président de la République vient de déclarer que la France allait débloquer une enveloppe de 1 milliard d’euros pour aider l’Afrique du Sud à sortir du charbon, alors que les choix de ce même Président ont entraîné la réouverture de centrales à charbon sur notre sol. Regardons la poutre qui est dans notre œil plutôt que le charbon dans celui du voisin...