Désolé, le moteur de recherche est indisponible pour le moment.

Photo de Sylvie Goy-Chavent

Interventions sur "rituel" de Sylvie Goy-Chavent


32 interventions trouvées.

...e le libre exercice des cultes, tout en veillant que les droits attachés soient accompagnés par le respect des devoirs qui y sont associés, notamment le principe de laïcité. Je rappelle que la France ne reconnaît aucune religion, mais garantit la liberté de conscience et donc de culte. C'est dans le cadre de cette garantie qu'une dérogation permet aux Juifs et aux Musulmans d'égorger les animaux rituellement, sans préalablement les avoir étourdis, comme le prévoit la loi. Mes questions ne porteront pas sur la liberté de culte, ni sur l'opportunité ou non d'interdire l'abattage sans étourdissement, mais sur le financement. Combien les filières d'abattage rituel rapportent-elles chaque année aux cultes juifs d'une part et au culte musulman d'autre part ? Les abattoirs reversent-ils de l'argent ...

...e le libre exercice des cultes, tout en veillant que les droits attachés soient accompagnés par le respect des devoirs qui y sont associés, notamment le principe de laïcité. Je rappelle que la France ne reconnaît aucune religion, mais garantit la liberté de conscience et donc de culte. C'est dans le cadre de cette garantie qu'une dérogation permet aux Juifs et aux Musulmans d'égorger les animaux rituellement, sans préalablement les avoir étourdis, comme le prévoit la loi. Mes questions ne porteront pas sur la liberté de culte, ni sur l'opportunité ou non d'interdire l'abattage sans étourdissement, mais sur le financement. Combien les filières d'abattage rituel rapportent-elles chaque année aux cultes juifs d'une part et au culte musulman d'autre part ? Les abattoirs reversent-ils de l'argent ...

26 % des animaux abattus le sont selon un rituel halal ou casher, alors qu'on compte 7 % à 8 % de pratiquants musulmans et juifs en France. Ne trouvez-vous pas que cet écart est important ?

26 % des animaux abattus le sont selon un rituel halal ou casher, alors qu'on compte 7 % à 8 % de pratiquants musulmans et juifs en France. Ne trouvez-vous pas que cet écart est important ?

...ent de l'ouvrage : « Le grand divorce : pourquoi les Français haïssent-ils leur économie », ou encore de « Profession escroc », dans lequel vous tracez le portrait de grands escrocs de la finance, et, plus récemment, de « Halal à tous les étals ». Pourquoi un journaliste économique tel que vous s'est-il intéressé au champ du halal ? Les services de l'État nous disent que la part d'animaux abattus rituellement ne dépasserait pas 10 à 15 %. Ces chiffres sont-ils justes ? Pourquoi en sommes-nous arrivés là ? Comment expliquer le déni des pouvoirs publics ? Vous dénoncez une certaine dérive du halal, mais cette dérive met-elle en danger notre modèle républicain ? Pourquoi selon vous ? Y a-t-il un risque que les filières d'abattage rituel financent des organisations terroristes ? A votre connaissance...

...ent de l'ouvrage : « Le grand divorce : pourquoi les Français haïssent-ils leur économie », ou encore de « Profession escroc », dans lequel vous tracez le portrait de grands escrocs de la finance, et, plus récemment, de « Halal à tous les étals ». Pourquoi un journaliste économique tel que vous s'est-il intéressé au champ du halal ? Les services de l'État nous disent que la part d'animaux abattus rituellement ne dépasserait pas 10 à 15 %. Ces chiffres sont-ils justes ? Pourquoi en sommes-nous arrivés là ? Comment expliquer le déni des pouvoirs publics ? Vous dénoncez une certaine dérive du halal, mais cette dérive met-elle en danger notre modèle républicain ? Pourquoi selon vous ? Y a-t-il un risque que les filières d'abattage rituel financent des organisations terroristes ? A votre connaissance...

Le rapport d'expertise scientifique collective auquel vous avez contribué constitue une référence en matière de souffrance animale. Les représentants du culte musulman, que nous avons auditionnés, nous ont affirmé que les animaux souffriraient davantage lors d'un abattage conventionnel avec étourdissement que lors d'un abattage rituel, en s'appuyant sur des études scientifiques qu'ils se sont engagés à nous transmettre. De votre point de vue, comment peut-on éviter, ou du moins minimiser, la souffrance animale lors de l'abattage ? L'animal est-il un être sensible capable d'éprouver de la souffrance ?

Le rapport d'expertise scientifique collective auquel vous avez contribué constitue une référence en matière de souffrance animale. Les représentants du culte musulman, que nous avons auditionnés, nous ont affirmé que les animaux souffriraient davantage lors d'un abattage conventionnel avec étourdissement que lors d'un abattage rituel, en s'appuyant sur des études scientifiques qu'ils se sont engagés à nous transmettre. De votre point de vue, comment peut-on éviter, ou du moins minimiser, la souffrance animale lors de l'abattage ? L'animal est-il un être sensible capable d'éprouver de la souffrance ?

Plusieurs aspects de ce rapport ont été contestés par le ministère de l'agriculture. Comment les données chiffrées relatives à l'abattage rituel ont-elles été collectées ? Comment expliquer l'écart, s'agissant du volume d'animaux concernés par l'abattage rituel, entre le chiffre de 51 % qui figure dans votre rapport et celui de 14 % qui nous a été transmis par la Direction générale de l'alimentation (DGAl) du ministère de l'agriculture ? Votre rapport relève que l'agonie des animaux abattus rituellement peut durer jusqu'à 14 minutes dan...

Plusieurs aspects de ce rapport ont été contestés par le ministère de l'agriculture. Comment les données chiffrées relatives à l'abattage rituel ont-elles été collectées ? Comment expliquer l'écart, s'agissant du volume d'animaux concernés par l'abattage rituel, entre le chiffre de 51 % qui figure dans votre rapport et celui de 14 % qui nous a été transmis par la Direction générale de l'alimentation (DGAl) du ministère de l'agriculture ? Votre rapport relève que l'agonie des animaux abattus rituellement peut durer jusqu'à 14 minutes dan...

Pouvez-vous nous décrire concrètement les étapes d'un abattage rituel entre l'immobilisation de l'animal et sa perte de conscience ?

Pouvez-vous nous décrire concrètement les étapes d'un abattage rituel entre l'immobilisation de l'animal et sa perte de conscience ?

Comment l'activité des abattoirs est-elle organisée entre abattage conventionnel et abattage rituel ?

Comment l'activité des abattoirs est-elle organisée entre abattage conventionnel et abattage rituel ?