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Il reflète uniquement l'activité des sénateurs sur la période d'octobre 2004 à mars 2023.
Interventions sur "viande" de Sylvie Goy-Chavent
250 interventions trouvées.
Mais chez certains transformateurs, l'origine des viandes change tous les jours, dans des proportions elles-mêmes variables. C'est pourquoi j'avais proposé que l'on impose pour chaque produit un pourcentage fixe de viande française.
Mais chez certains transformateurs, l'origine des viandes change tous les jours, dans des proportions elles-mêmes variables. C'est pourquoi j'avais proposé que l'on impose pour chaque produit un pourcentage fixe de viande française.
Quelles sont les pistes pour sauver cette filière avicole, qui semble en perdition ? Nous importons 45 % de notre viande de poulet.
Quelles sont les pistes pour sauver cette filière avicole, qui semble en perdition ? Nous importons 45 % de notre viande de poulet.
Les modes de consommation ont beaucoup évolué en quelques décennies : on mange de la viande non plus une ou deux fois par semaine mais à tous les repas. Ne faudrait-il pas consommer moins et mieux ? Cela éviterait une fuite en avant vers une production bas de gamme. Comment aller vers une meilleure qualité ?
Les modes de consommation ont beaucoup évolué en quelques décennies : on mange de la viande non plus une ou deux fois par semaine mais à tous les repas. Ne faudrait-il pas consommer moins et mieux ? Cela éviterait une fuite en avant vers une production bas de gamme. Comment aller vers une meilleure qualité ?
Le rabbin Bruno Benjamin, sur le site du Consistoire juif de Marseille, affirme que la viande casher est au coeur des préoccupations du président délégué du Consistoire israélite de Marseille : « Elle fournit, à travers la taxe rabbinique, perçue pour l'attribution du certificat de cacheroute, 40 % de son budget annule de 3 millions d'euros ». Bruno Benjamin détaille les conditions dans lesquels est produite la viande destinée à la communauté juive de Marseille : il faut abattre environ d...
Le rabbin Bruno Benjamin, sur le site du Consistoire juif de Marseille, affirme que la viande casher est au coeur des préoccupations du président délégué du Consistoire israélite de Marseille : « Elle fournit, à travers la taxe rabbinique, perçue pour l'attribution du certificat de cacheroute, 40 % de son budget annule de 3 millions d'euros ». Bruno Benjamin détaille les conditions dans lesquels est produite la viande destinée à la communauté juive de Marseille : il faut abattre environ d...
Quelle est la garantie réelle qu'ont les Musulmans et les Juifs de consommer des viandes halal ou casher ?
Quelle est la garantie réelle qu'ont les Musulmans et les Juifs de consommer des viandes halal ou casher ?
Pourtant, beaucoup de pays hors d'Europe étourdissent les animaux avant abattage et exportent chez nous des viandes certifiées halal et vendues comme telles.
Pourtant, beaucoup de pays hors d'Europe étourdissent les animaux avant abattage et exportent chez nous des viandes certifiées halal et vendues comme telles.
Cela reste à prouver. Les représentants des cultes disaient, lors de la table ronde, que si l'on se lançait dans un étiquetage du produit halal, ils boycotteraient la viande française. Qui tient l'autre ?
Cela reste à prouver. Les représentants des cultes disaient, lors de la table ronde, que si l'on se lançait dans un étiquetage du produit halal, ils boycotteraient la viande française. Qui tient l'autre ?
La transparence paraît la meilleure solution pour donner le choix, respecter la liberté de conscience, et permettre à ceux qui souhaitent consommer des viandes issues d'un abattage ou d'un autre d'avoir le choix. Cela ne peut passer que par là !
La transparence paraît la meilleure solution pour donner le choix, respecter la liberté de conscience, et permettre à ceux qui souhaitent consommer des viandes issues d'un abattage ou d'un autre d'avoir le choix. Cela ne peut passer que par là !
Quand les textes ont été écrits, il ne fallait pas consommer la viande d'un animal blessé ou malade. C'était à l'époque évident, afin d'éviter les maladies. Aujourd'hui, ces raisons n'existent plus.
Quand les textes ont été écrits, il ne fallait pas consommer la viande d'un animal blessé ou malade. C'était à l'époque évident, afin d'éviter les maladies. Aujourd'hui, ces raisons n'existent plus.
La souffrance et la douleur animales ont-elles un impact sur la qualité de la viande ?
La souffrance et la douleur animales ont-elles un impact sur la qualité de la viande ?
