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Interventions sur "hommes" de Victoire Jasmin


6 interventions trouvées.

...e territoire hexagonal malgré l'offre de formation présente sur l'île. Ils ne reviennent pas toujours, après avoir fondé une famille en métropole, par exemple. Nous voyons bien que ce sont les anciens qui restent. Des associations nous ont adressé des courriers pour nous faire part de discriminations à l'égard des femmes médecins, qui ne disposent pas des mêmes possibilités de formation que les hommes en tant qu'internes, en tant que seniors ou référentes, mais aussi sur les différents postes à pourvoir, même pour celles qui ont déjà une certaine expérience. Enfin, les femmes souhaitant poursuivre une activité artistique, humoristique ou culturelle rencontrent également plus de difficultés et d'obstacles que les hommes. Elles bénéficient aussi d'un réseau moindre. Merci à tous.

J'ai écouté avec beaucoup d'intérêt les propos échangés et j'ai été très heureuse d'entendre ce qui a été dit sur les intercommunalités. Il est appréciable de voir que des hommes comme notre collègue Bruno Belin contribuent à ce que la situation change. J'ai également beaucoup apprécié votre intervention, Madame Badré. Nous pouvons tenter de faire évoluer la situation en nous adressant aux plus jeunes. Par exemple, il existe des référents égalité au sein de l'Éducation nationale. Des inspectrices et des inspecteurs travaillent sur l'égalité entre les garçons et les fille...

...l faudrait que les médecins du travail prennent le problème plus au sérieux. La souffrance n'est pas toujours prise en compte et les faits ne sont pas systématiquement dénoncés par les personnes habilitées à le faire. Enfin, il y a dans nos îles un sérieux problème d'homophobie. Toutes les tranches de la population sont potentiellement concernées par les violences. Il faut prendre en charge les hommes responsables de tels comportements pour éviter la récidive. À cet effet, des procédures ont été mises en place par les parquets. Je reviens sur les violences commises dans l'espace public. Si traditionnellement, le fait de siffler une femme dans la rue n'était pas vu comme une forme d'agression, ce n'est plus le cas avec les jeunes femmes, surtout celles qui viennent de l'extérieur. Il faut que ...

...l faudrait que les médecins du travail prennent le problème plus au sérieux. La souffrance n'est pas toujours prise en compte et les faits ne sont pas systématiquement dénoncés par les personnes habilitées à le faire. Enfin, il y a dans nos îles un sérieux problème d'homophobie. Toutes les tranches de la population sont potentiellement concernées par les violences. Il faut prendre en charge les hommes responsables de tels comportements pour éviter la récidive. À cet effet, des procédures ont été mises en place par les parquets. Je reviens sur les violences commises dans l'espace public. Si traditionnellement, le fait de siffler une femme dans la rue n'était pas vu comme une forme d'agression, ce n'est plus le cas avec les jeunes femmes, surtout celles qui viennent de l'extérieur. Il faut que ...

...femmes se sont autant investies dans leur discipline. Je suis aussi contente de savoir que M. Noël Le Graët a souhaité vous intégrer dans son équipe dirigeante et je comprends maintenant pourquoi. Il savait de quoi vous étiez capable. La démonstration que vous venez de faire en évoquant votre parcours et vos objectifs ne peut que valoriser davantage le football féminin, les femmes, mais aussi les hommes. En effet, M. Le Graët a su faire preuve de compétence en vous recrutant et j'en profite pour le remercier. J'aimerais vous poser plusieurs questions. Tout d'abord, j'aimerais savoir comment vous conciliez l'ensemble de vos missions. Je vous félicite d'ailleurs pour votre parcours. Nous avons eu l'occasion d'auditionner Audrey Keysers et j'aimerais savoir si vous connaissez son livre Football f...

Je vous remercie pour les informations données. Je suis frappée par le décalage entre le discours officiel qui fait de l'égalité entre les femmes et les hommes la grande cause nationale du quinquennat et la réalité des moyens sur le terrain. Car les crédits ne sont pas à la hauteur des besoins des associations. Nous avons pu rencontrer de nombreux acteurs l'an dernier, dans le cadre de nos travaux sur les violences faites aux femmes. Nous avons constaté le travail formidable mené sur le terrain par les associations ; or elles demeurent limitées par les ...