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M. le ministre insiste sur le coût de la mesure, chiffré à 1, 5 milliard d’euros. Mais elle crée de la richesse, de la croissance, et assure des recettes de TVA et d’impôt sur les sociétés. Nous l’avons bien vu : la baisse du chômage a créé des revenus supplémentaires pour l’État. Et, encore une fois, le Trésor n’a pas budgétisé cette somme.
Si on baisse la TVA, on va avoir une baisse de prélèvements sur la consommation, notamment dans l'optique de préserver le pouvoir d'achat. Cependant, pour équilibrer le budget, qui n'est déjà plus équilibré depuis 40 ans, pour ne pas continuer de faire appel à la dette, ce que l'on fait aujourd'hui de manière artificielle, on préconise donc, en contrepartie, d'augmenter les prélèvements sur la production et le trava...