2 interventions trouvées.
a estimé, tout d'abord, que le développement de relations avec les entreprises, longtemps insuffisant, ne justifie pas, néanmoins, de multiplier les recours à des partenariats public-privé. Il a insisté sur la question centrale de la gestion de l'espace urbain et de la rénovation des centres historiques, souhaitant que les architectes soient au coeur de ces enjeux, compte tenu de l'écho que trouvent ces démarches dans des pays comme la Chine ou l'Inde. Il a indiqué que les architectes ne doivent pas limiter leur rôle au respect des normes de type « haute qualité environnementale » (HQE). Puis il a plaidé pour un développement de la formation et des travaux de recherche sur la maîtrise des outils d'urbanisme.
...vable que la simplification s'accompagne d'une baisse du niveau d'exigence sur des questions touchant à l'accessibilité, à la sécurité. Il est facile de dire qu'on va réduire les délais, qu'on va le faire par ordonnance et qu'ainsi tout le monde sera content. Il faut toutefois être réaliste. Certaines expertises demandent des délais d'instruction longs. Il faut, par exemple, attendre l'avis de l'architecte des Bâtiments de France ou celui des pompiers. On pourrait envisager de supprimer ces consultations pour simplifier la procédure, mais avouez que cela n'est pas possible ! Je ne milite pas pour que les délais soient allongés, mais pour que nous soyons réalistes dans l'appréciation du temps. Les directions de l'équipement se plaignent du manque de personnel pour instruire les dossiers dans les dé...