Les amendements de Philippe Marini pour ce dossier
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Nous allons procéder ce matin à une audition pour suite à donner à un référé de la Cour des comptes. Je rappelle que cette procédure de contrôle a été initiée en 2007, en étroite concertation avec le Premier président Philippe Séguin, à la suite de sa participation au séminaire que notre commission avait organisé au Mans sous la présidence de J...
La parole est maintenant à Nicolas Bourriaud, directeur de l'École nationale supérieure des beaux-arts. Vous avez pris vos fonctions en 2011, et vous avez donc pu proposer des remèdes aux insuffisances qui ont été rappelées.
Ce contexte budgétaire n'est pas une originalité propre au ministère de la culture, et la situation devrait s'aggraver...
La parole est maintenant à Michel Orier, représentant de la tutelle en tant que directeur général de la création artistique au ministère de la culture et de la communication. Voilà un titre finalement assez étrange et paradoxal : nous imaginons que la création ne se dirige pas, ou en tout cas que ce n'est pas le rôle de l'État de la diriger... ...
Je vous remercie. Monsieur le rapporteur général, vous avez étudié la situation et regardé les documents qui nous ont été transmis : quelles remarques et interrogations cela vous inspire-t-il ?
Ceux qui se disent ignorants sont en général les plus savants et ceux qui se prétendent savants sont en général ceux qui ne savent rien. Je souhaitais à mon tour vous interroger sur deux points. Premièrement, compte tenu de la contrainte budgétaire qui ne peut qu'inévitablement s'accroître, vos ressources propres doivent se développer, notam...
Monsieur Bourriaud, doit-on attendre la signature d'un contrat, d'un « pacte d'avenir », pour s'efforcer d'accroître les ressources propres de l'école ?
Ce qui aboutit à un montant global pour ces deux types de ressources de 818 000 euros en 2010 et près d'1,3 million d'euros en 2013.
Est-il si compliqué de conserver des photographies ? Dans notre assemblée, nous sommes un certain nombre à occuper par ailleurs des fonctions de maire, et nous nous efforçons de garder les pieds sur terre.
Vous mettez le doigt sur une problématique qui touche à l'identité de l'institution. Il est vrai que, traditionnellement, en France et à l'étranger, la référence aux « beaux-arts » est connue, il s'agit presque d'une marque. On sait de quoi on parle, ce qui n'est pas le cas quand on cite l'« ENSBA ». Cela pose une vraie question : faut-il aband...
Tout cela, c'est la loi qui l'a imposé. C'est le Parlement qui légifère, donc nous sommes responsables...
C'est une expérience partagée par beaucoup d'entre nous et il est vrai que si le Sénat a une utilité, c'est peut-être parce que ses horizons de temps sont différents de ceux d'autres institutions.
La ministre de la culture et de la communication vient d'inaugurer la réouverture du théâtre du Château de Fontainebleau. Celui-ci a pu être restauré grâce à l'une des contreparties de l'accord, fortement critiqué, relatif au Louvre Abu Dhabi. Le patrimoine français est une vraie valeur dans les partenariats internationaux comme dans les relati...
Il revient à nos interlocuteurs de bien vouloir conclure cet échange, qui nous a permis de mieux prendre conscience des missions, de l'originalité et des enjeux d'avenir de l'ENSBA. J'ajouterai une dernière question : quelles sont les relations avec l'enseignement de l'architecture ? En effet, c'était bien l'origine de l'institution des beaux-...
La France à l'échelle mondiale, c'est quoi ? C'est une petite Suisse ? On peut tenir ce raisonnement sur tous les sujets. À ce moment-là, on se dilue dans un « machin » de Cleveland ! M. Patrick Lefas. - Mon propos était de dire qu'avec un effectif de 545 étudiants, on a problème de taille critique, et que l'une des clés du raisonnement tient...
Je crois que nous avons bien compris les enjeux et les difficultés liés à la volonté de préserver la compétitivité de notre pays dans le domaine culturel, tout en étant en mesure d'ajuster nos charges à nos moyens, de mutualiser, et de bien répartir l'argent public. Cela demande beaucoup d'imagination. Il revient à Michel Orier de conclure.
Je remercie l'ensemble des intervenants et invite Nicolas Bourriaud à fournir à Yann Gaillard la programmation des futures expositions de l'ENSBA. La réunion est levée à 11h18.