Les amendements de Roger Karoutchi pour ce dossier
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Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, il faut bien admettre que notre débat de ce soir est quelque peu surréaliste ! Je viens d’entendre mon collègue socialiste dire qu’il faudrait attendre l’élection des conseillers régionaux de 2028 avant de se pencher sur le sujet de l’ouverture à la concurrence… Privilège de la ...
Après l’alternance de 2012, lorsque j’allais rencontrer le ministre des transports en tant que président de la commission des finances du conseil régional, avec Jean-Paul Huchon et Serge Méry – certains d’entre vous ont peut-être connu ce dernier, qui était alors le vice-président socialiste chargé des transports de la région –, on nous disait ...
J’ai entendu les orateurs précédents affirmer qu’il ne fallait pas se précipiter. Avec une directive qui date de 2007 – il y a seize ans – et un premier texte de 2009 – il y a quatorze ans –, on ne peut pas dire que tel soit le cas ! De ce côté-là, on est tranquilles. Et si l’on attend les élections de 2028 pour prendre des mesures en 2032, il ...
En revanche, les grandes expressions qui, en réalité, ne servent qu’à bloquer le débat n’ont pas de sens. Si d’un côté, on dit : « Non, ce n’est pas de l’ouverture à la concurrence, c’est une privatisation », et de l’autre : « Mais non, pas du tout, c’est de la délégation de service public », …
Mon cher collègue, je ne vous ai pas interrompu tout à l’heure, alors je vous prie de me laisser parler !
Peut-être pour vous ! Les choses sont claires. Je puis comprendre que l’on soit par principe hostile à l’ouverture à la concurrence, mais je ferai remarquer que la position des socialistes sur cette question a sacrément évolué… Il est prévu un délai de deux ans qui commencera à courir à partir du 1er janvier 2025, soit dans un an : cela signi...
Chacun veut faire avancer les choses pour le plus grand bien des machinistes, mais aussi des usagers. Car, finalement, les services publics de transport n’ont qu’un seul et unique objectif : satisfaire leurs usagers. C’est ainsi que l’on défend le service public, car si les usagers sont mécontents, c’est dramatique. Je voterai ce texte, puisqu...
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, il faut bien admettre que notre débat de ce soir est quelque peu surréaliste ! Je viens d'entendre mon collègue socialiste dire qu'il faudrait attendre l'élection des conseillers régionaux de 2028 avant de se pencher sur le sujet de l'ouverture à la concurrence… Privilège de la ...
Après l'inversion gouvernementale de 2012, lorsque j'allais rencontrer le ministre des transports, en tant que président de la commission des finances du conseil régional, avec Jean-Paul Huchon et Serge Méry – certains d'entre vous ont peut-être connu ce dernier, qui était alors le vice-président socialiste chargé des transports de la région –,...
J'ai entendu les orateurs précédents dire qu'il ne fallait pas se précipiter. Avec une directive qui date de 2007 – il y a seize ans – et un premier texte en 2009 – il y a quatorze ans –, on ne peut pas dire que tel soit le cas ! De ce côté-là, on est tranquilles. Et si l'on attend les élections de 2028 pour prendre des mesures en 2032, il aura...
En revanche, les grandes expressions qui, en réalité, ne servent qu'à bloquer le débat n'ont pas de sens. Si, d'un côté, on dit : « Non, ce n'est pas de l'ouverture à la concurrence, c'est une privatisation », et de l'autre : « Mais non, pas du tout, c'est de la délégation de service public », …
Mon cher collègue, je ne vous ai pas interrompu tout à l'heure, alors je vous prie de me laisser parler !
Peut-être pour vous ! Les choses sont claires. Si l'on est hostile à l'ouverture à la concurrence par principe, je puis le comprendre, même si je ferai remarquer que la position des socialistes sur cette question a sacrément évolué… Il est prévu un délai de deux ans qui commencera à courir à partir du 1er janvier 2025, soit dans un an : cela ...
Chacun veut faire avancer les choses, pour le plus grand bien des machinistes, mais aussi des usagers. Car, finalement, les services publics de transport n'ont qu'un seul et unique objectif : satisfaire leurs usagers. C'est ainsi que l'on défend le service public, car si les usagers sont mécontents, c'est dramatique. Je voterai ce texte, puisq...