1592 interventions trouvées.
… dans ces termes simples et beaux : « Donner aux Français quelque chose à aimer. Et leur donner d’abord à aimer la France. »
Madame la présidente, madame la ministre, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, étant donné le temps de parole très court qui m’est réservé, je devrai me contenter de formuler quelques brèves réflexions politiques, à partir de certaines citations tirées de vos travaux. Je commencerai par l’importance du service public. Cette importance...
À cet égard, la même directrice générale souligne « la particulière fragilité des populations précaires qui sont à l’origine de ces résultats décevants ». Toutefois, comme pour le classement PISA, l’on devine derrière le mot « précarité » les conséquences de l’immigration massive et continue de populations extra-européennes §
Vous évoquez d’ailleurs la situation à Mayotte, et souvenons-nous que même François Baroin avait parlé de revenir sur le droit du sol quand il avait constaté ce qu’il se passe sur ce territoire... Mais il est très vite revenu sur cet accès de bon sens passager... J’en viens aux incertitudes liées aux diplômes étrangers. Sur ce point, voici les...
… dont rien ne garantit qu’il restera le même à l’avenir, tandis que le flux de formation en France n’a pas autant augmenté que dans d’autres spécialités médicales. » Dans ce domaine, nous devons réexaminer notre système sans dogmatisme. Nous payons cher pour assurer aux étudiants des cursus de qualité ; une fois diplômés, ils doivent être su...
M. Stéphane Ravier. Il y en a, mais ce mouvement, encore embryonnaire, doit être encouragé. Plutôt que de sacraliser l’avortement
M. Stéphane Ravier. Si l’on votait, dans nos assemblées, un droit fondamental des femmes à être bien accompagnées durant leur grossesse, alors nous aurions un Parlement réellement humaniste, fidèle à sa mission première, qui est de protéger les plus faibles, comme les médecins doivent être fidèles au serment d’Hippocrate.
Monsieur le président, permettez-moi, en préalable à mon intervention, de saluer la mémoire d’un jeune lycéen de seize ans, Mickaël Asaturyan, sauvagement et mortellement poignardé à Marseille, alors qu’il sortait de son lycée. Je présente à sa famille et à ses proches mes plus sincères condoléances. Monsieur le président, monsieur le ministre...
Qui a fait le lit de l’islamisme le plus violent en déstabilisant tout le Proche-Orient au nom de faux prophètes médiatiques les cheveux au vent et de leur idéologie mondialiste, à l’opposé de toutes les réalités locales ? C’est toujours vous ! Nous seuls avions prédit, avec Marine Le Pen, que la stratégie atlantiste des changements de régime,...
M. Stéphane Ravier. Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État, mes chers collègues, malgré certaines améliorations apportées par notre assemblée, ce projet de loi de finances s’inscrit dans la droite ligne des budgets qui ont défait la France depuis des décennies.
Ces budgets ont été marqués par des choix idéologiques plus que pragmatiques. Ces budgets s’attaquent aux ménages et aux entreprises pour diminuer le déficit que vous, vraie gauche et fausse droite, avez aggravé durant des années de partage du pouvoir.
Ces budgets, tous déficitaires, n’ont fait que creuser la dette de la France depuis quarante ans, engraissant les banquiers et enchaînant notre pays à des prêteurs en majorité étrangers. Ces budgets ne permettront pas de retrouver le chemin de la croissance et encore moins celui de l’emploi. Ces budgets mettent à mal le modèle français, hérit...
Ces budgets préfèrent casser ce qui fonctionne, comme les professions réglementées, plutôt que de s’attaquer aux vrais problèmes. Ces budgets sont écrits sous la dictée des commissaires européens, sous le regard de Bruxelles, avec son œil droit et avec son œil gauche…
Bref, ces budgets, depuis tant d’années, font le bonheur des financiers et le malheur des Français. Toutefois, peut-être est-ce la dernière fois que le Parlement vote, avec un semblant d’indépendance, le budget de la nation : nous sommes suspendus au jugement de Bruxelles, qui, dans quelques mois, émettra un avis pouvant aller jusqu’à notre mi...
M. Stéphane Ravier. Dites au moins aux Français que vous n’avez plus les manettes.
M. Stéphane Ravier. Pourtant, des pistes de réforme existent : elles se nomment restauration des frontières, protectionnisme intelligent, retour à une monnaie nationale, priorité nationale, réduction drastique de l’immigration.
Nous voterons par conséquent contre ce budget, …
… qui, je le répète, ne fait qu’exprimer les exigences de l’euromondialisme, …
M. Stéphane Ravier. … au détriment des Français…
Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, comme tous les gouvernements depuis vingt ans, le gouvernement de M. Valls a annoncé urbi et orbi que la politique de l’emploi serait sa priorité, et le Président de la République, comme ses prédécesseurs, nous promet pour chaque fin d’année l’inversion de la courbe du chôm...