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Oui, quand on abat rituellement sans étourdissement, ce n'est pas l'idéal.
Les grands pays exportateurs de viande halal pratiquent l'étourdissement. C'est le cas, me semble-t-il pour la Nouvelle-Zélande.
Et quels morceaux et de quelle race ?
Ne faudrait-il pas plus de contrôles, des tests ADN ?
Pour m'en tenir à l'essentiel, je voudrais que vous nous disiez quels leviers le législateur peut, à votre avis, actionner pour soutenir la filière viande et quelles pistes de rénovation vous suggérez.
Quelle est votre appréciation sur les filières courtes : est-ce une piste de redressement ?
Pouvez-vous également nous dire si les difficultés se concentrent plus dans certaines régions ou pour certaines races à viande. Votre organisation couvre-t-elle le territoire ?
C'est un produit d'excellence qui marche bien. Le bio est-il également une piste à encourager ?
Il conviendrait donc d'uniformiser les cahiers des charges de l'agriculture biologique.
Cette hyper concentration est-elle souhaitable ?
Vous êtes donc favorable, dès lors, à la préservation ou à la création de petits abattoirs ?
Pourriez-vous préalablement présenter la fédération française des commerçants en bestiaux (FFCB) avant d'aborder les questions de fonds.
Quel est le rythme des chaînes d'abattage rituel ?
Quand on sait qu'en abattage rituel, un animal peut mettre 15 minutes à mourir ...
C'est un débat nécessaire pour rassurer le consommateur, notamment sur le risque sanitaire.
Si l'animal est encore vivant lorsqu'on le pend par les pattes ?
Si l'animal, pendu par les pattes arrières, est encore vivant, ne serait-ce qu'une minute, le rumen peut se déverser sur la plaie.
Pas en abattage rituel puisque la trachée et l'oesophage sont sectionnés.
L'information est nécessaire pour rétablir la confiance du consommateur.
Pouvez-vous nous parler du transport et du bien être animal. Des projets de texte disposent que la durée totale de transport des animaux ne pourra dépasser 8 heures.