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Il est facile de parler quand on est à la retraite !
Ce propos ne s'adressait pas à vous, monsieur le secrétaire d'Etat !
Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le secrétaire d'Etat, mes chers collègues, je salue l'arrivée de Dominique Bussereau au ministère de l'agriculture. Le Président de la République et le Premier ministre ont, me semble-t-il, joué gagnant-gagnant. Monsieur le ministre, vous étiez au budget, vous voilà à l'agriculture ; Hervé ...
Il tient bon, heureusement ! C'est le pilier de la maison ! Si vous ne déjouez pas les ficelles de Bercy que vous connaissez bien, monsieur Bussereau, je pense que l'on saura vous rappeler votre passage au budget. Mais, grâce à vous, nous allons permettre aux agriculteurs de retrouver le moral, parce que, par les temps qui courent, avec la per...
Ce n'était pas mon intention ! Je voulais simplement lui demander d'être vigilant quant aux préoccupations de la profession agricole. Le premier sujet sur lequel je souhaite attirer votre attention, monsieur le ministre, concerne le BAPSA. Sa suppression est l'une des conséquences des dispositions de la loi organique relative aux lois de finan...
C'est vrai !
Et le lait !
Très bien !
Il faut 2 milliards !
C'est exact !
Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'Etat, mes chers collègues, l'examen du projet de loi de finances qui doit se poursuivre tout à l'heure me commande d'être bref. Je vais m'y employer, mais je ne voudrais pas donner le sentiment de « bâcler » le sujet, car la loi de financement de la sécurité sociale est un texte essentiel. Je rapp...
J'espère que vous n'en doutiez pas, monsieur le président ! Mes chers collègues, dans quelques instants, nous allons donc adopter le dernier projet de loi de financement de la sécurité sociale de la première génération. Je souhaite que l'expérience tirée de ces neuf années guide notre réflexion dans la meilleure direction possible.
C'est bien dommage !
Heureusement que nous sommes là pour l'application des mesures !
Vous ne le pensez pas, monsieur Autain.
Ne forcez pas le trait !
C'est faux !
Nous aurons l'occasion d'en reparler !
Mon cher collègue, m'autorisez-vous à vous interrompre ?
Monsieur Autain, je vous le confirme : l'article 24 A a bien été rétabli, mais sous une autre forme, dans le code du travail. N'ayez donc plus aucune inquiétude et renoncez à cet argument, puisque vous avez satisfaction.