Amendement N° COM-47 rectifié (Rejeté)

Commission du développement durable, des infrastructures, de l'équipement et de l'aménagement du territoire

Renvois pour avis multiples

Déposé le 7 juillet 2015 par : MM. Pointereau, Laufoaulu, Mouiller, Houel, Cornu, Vaspart, G. Bailly, Mayet, P. Leroy, Doligé, Mme Mélot, MM. Commeinhes, César, Revet, Mme Deromedi, MM. Pierre, Chaize, Mme Canayer, M. Gremillet.

Photo de Rémy Pointereau Photo de Robert Laufoaulu Photo de Philippe Mouiller Photo de Michel Houel Photo de Gérard Cornu Photo de Michel Vaspart Photo de Gérard Bailly Photo de Jean-François Mayet Photo de Philippe Leroy 
Photo de Éric Doligé Photo de Colette Mélot Photo de François Commeinhes Photo de Gérard César Photo de Charles Revet Photo de Jacky Deromedi Photo de Jackie Pierre Photo de Patrick Chaize Photo de Agnès Canayer Photo de Daniel Gremillet 

Supprimer cet article

Exposé Sommaire :

L’article L.411-5 du code de l’environnement instaure un inventaire du patrimoine naturel « conduit sous la responsabilité scientifique du Muséum national d’histoire naturelle ».

Même s'il convient de prêter à la qualité et à la préservation des sols une attention particulière car porteur de nombreux enjeux, le muséum national d’histoire naturelle n'a pas vocation à réaliser un tel inventaire, alors que des structures existantes, telles que le Groupement d'Intérêt Scientifique Sol (GIS Sol), qui regroupe le Ministère de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Pêche, le Ministère de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement Durable et de la Mer, l'Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), l'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie (ADEME), l'Institut de recherche pour le développement (IRD) et l'Inventaire Forestier National (IFN), constitue déjà et gère un système d'information sur les sols de France, par rapport à leur distribution spatiale, leurs propriétés et l'évolution de leurs qualités.

Enfin, un inventaire, tel que proposé par cet article n’aurait pas de portée opérationnelle car simple outil de portée à connaissance. Il serait plus efficace de confier à des structures dont c’est la vocation première, tel que l’observatoire national des espaces agricoles naturels et forestiers, un travail qui ne se contenterait pas d’observer et de porter à connaissance mais de proposer des outils et des méthodologies opérationnelles pour mieux préserver la qualité des sols agricoles, naturels et forestiers.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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