Amendement N° 5 4ème rectif. (Irrecevable)

Audition de Mm. Yann Wehrling ambassadeur délégué à l'environnement et jean-françois silvain président de la fondation pour la recherche sur la biodiversité sur le lien entre pandémies et atteintes à la biodiversité

Discuté en séance le 20 octobre 2020
Avis de la Commission : Irrecevabilité article 45
( amendement identique : )

Déposé le 20 octobre 2020 par : Mme Noël, M. Brisson, Mmes Deromedi, Deroche, MM. Courtial, Pemezec, Savin, Pellevat, Lefèvre, Vogel, Chatillon, Mme Belrhiti, MM. Le Gleut, Daniel Laurent, Bernard Fournier, Mme Imbert, MM. Paccaud, Jean-Marc Boyer, Mme de Cidrac, MM. Calvet, Belin, Sido, Joyandet, Mmes Berthet, Raimond-Pavero, MM. Charon, Bouchet, Laménie.

Photo de Sylviane Noël Photo de Max Brisson Photo de Jacky Deromedi Photo de Catherine Deroche Photo de Édouard Courtial Photo de Philippe Pemezec Photo de Michel Savin Photo de Cyril Pellevat Photo de Antoine Lefèvre Photo de Jean Pierre Vogel Photo de Alain Chatillon Photo de Catherine Belrhiti Photo de Ronan Le Gleut Photo de Daniel Laurent 
Photo de Bernard Fournier Photo de Corinne Imbert Photo de Olivier Paccaud Photo de Jean-Marc Boyer Photo de Marta de Cidrac Photo de François Calvet Photo de Bruno Belin Photo de Bruno Sido Photo de Alain Joyandet Photo de Martine Berthet Photo de Isabelle Raimond-Pavero Photo de Pierre Charon Photo de Gilbert Bouchet Photo de Marc Laménie 

Après l’article 5

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

À compter de la promulgation de la présente loi, lorsque l’État transfère de nouvelles compétences aux collectivités territoriales, ce transfert est exempt de procédure d’autorisation ou d’agrément, il reste soumis au seul contrôle de son application.

Exposé Sommaire :

Depuis quelques années, l’Etat a la fâcheuse tendance à transférer des charges ou des compétences aux collectivités tout en gardant en réalité la maîtrise et le contrôle de celles-ci au travers de procédures d’autorisation ou d’agréments très étroites qui font en réalité que l’Etat continue d’exercer ces compétences sans en assumer le coût.

Lorsqu’il transfère aux collectivités territoriales des compétences auparavant exercées par l’État, le législateur est tenu de simplifier ce transfert en supprimant les nombreuses procédures liées à son autorisation.

L’objet de cet amendement est donc de donner davantage de liberté quant à l’exercice de nouvelles compétences transférées par l’Etat aux collectivités en permettant de compléter le principe de « qui décide, paie » par le principe de « qui paie, commande », tout en gardant le principe du contrôle a posteriori sur sa stricte réalisation.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

Déclaré irrecevable au titre de l'article 45, alinéa 1, de la Constitution par la commission saisie au fond

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