Amendement N° I-284 rectifié (Sort indéfini)

Loi de finances pour 2021

Déposé le 19 novembre 2020 par : M. Panunzi, Mmes Deromedi, Imbert, Lassarade, M. Grosperrin, Mmes Garriaud-Maylam, Dumas, MM. Longuet, Mandelli, Favreau, Le Gleut, Daniel Laurent, Bascher, Mme Joseph, MM. Houpert, Brisson, Bonhomme, Philippe Dominati, Mme Boulay-Espéronnier.

Photo de Jean-Jacques Panunzi Photo de Jacky Deromedi Photo de Corinne Imbert Photo de Florence Lassarade Photo de Jacques Grosperrin Photo de Joëlle Garriaud-Maylam Photo de Catherine Dumas Photo de Gérard Longuet Photo de Didier Mandelli 
Photo de Gilbert Favreau Photo de Ronan Le Gleut Photo de Daniel Laurent Photo de Jérôme Bascher Photo de Else Joseph Photo de Alain Houpert Photo de Max Brisson Photo de François Bonhomme Photo de Philippe Dominati Photo de Céline Boulay-Espéronnier 

Après l’article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le premier alinéa du VI ter de l’article 199 terdecies-0 A du code général des impôts est complété par une phrase ainsi rédigée : « Toutefois, le taux est fixé à 50 % pour les versements effectués entre le 1erjanvier et le 31 décembre 2021. »

II. – La perte de recettes résultant pour l’État du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle aux droits prévus aux articles 575 et 575 A du code général des impôts.

Exposé Sommaire :

Les montants collectés au titre du FIP Corse se montent aujourd’hui à près de 380 millions d’euros, soit 2.000 emplois directs en Corse et 5.000 emplois induits.

Aujourd’hui, les taux de réduction actuels sont de 38% pour la souscription d’un FIP Corse contre 18% pour un FIP finançant les entreprises continentales.

L’économie insulaire, durement impactée par la crise, a besoin d’un apport d’investissement extérieur pour soutenir l’activité. Porter à 50% le taux actuel sur le seul exercice 2021 est de nature à favoriser l’investissement dans les entreprises insulaires alors même qu’elles se trouvent particulièrement mises à mal avec une structuration de l’économie reposant pour près d’un tiers sur le secteur touristique qui subit de plein fouet les effets de la crise sanitaire, économique et sociale.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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