Amendement N° COM-364 rectifié (Adopté)

Commission de l'aménagement du territoire et du développement durable

Convocation du parlement en session extraordinaire


( amendements identiques : COM-690 )

Déposé le 31 mai 2021 par : Mme Marie Mercier, MM. Bascher, Belin, Mme Borchio Fontimp, MM. Bouchet, Brisson, Burgoa, Mme Canayer, M. Cuypers, Mme Deromedi, MM. Duplomb, Bernard Fournier, Genet, Grosperrin, Joyandet, Laménie, Lefèvre, Mme Raimond-Pavero, MM. Reichardt, Sido, Somon, Mme Thomas.

Photo de Marie Mercier Photo de Jérôme Bascher Photo de Bruno Belin Photo de Alexandra Borchio Fontimp Photo de Gilbert Bouchet Photo de Max Brisson Photo de Laurent Burgoa Photo de Agnès Canayer Photo de Pierre Cuypers Photo de Jacky Deromedi Photo de Laurent Duplomb 
Photo de Bernard Fournier Photo de Fabien Genet Photo de Jacques Grosperrin Photo de Alain Joyandet Photo de Marc Laménie Photo de Antoine Lefèvre Photo de Isabelle Raimond-Pavero Photo de André Reichardt Photo de Bruno Sido Photo de Laurent Somon Photo de Claudine Thomas 

Supprimer l'alinéa 10

Exposé Sommaire :

Les ordonnances de la loi ELAN ont outillé juridiquement les élus pour renforcer le pilotage de leur politique d’aménagement commercial en rendant le Document d’Aménagement Artisanal et Commercial du SCoT obligatoire. Dans ce cadre, les élus doivent notamment définir les secteurs d’implantation périphérique existants, ceux pouvant accueillir de nouvelles surfaces commerciales, ceux qui présentent des enjeux de mutation ou de modernisation, de réhabilitation d’entrée de ville tout en traitant des équilibres avec le commerce de centre-ville, et des objectifs de revitalisation.

Une soumission automatique à la CNAC des autorisations commerciales pour les projets de plus de 3 000 m2 de surface de vente remet en cause le travail des élus locaux et le rôle des CDAC qui statuent sur les autorisations commerciales, en s’assurant notamment de la compatibilité du projet avec la stratégie d’aménagement commerciale fixés par les élus dans leur SCoT (DAAC), et de la légalité du projet. Il n’est nullement besoin de faire remonter tous les projets locaux de dérogation à l’échelle nationale pour les faire valider. La CNAC restant l’instance de recours, si nécessaire.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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