Amendement N° 1 2ème rectif. (Rejeté)

Confiance dans l'institution judiciaire

Discuté en séance le 29 septembre 2021
Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Défavorable
( amendement identique : )

Déposé le 28 septembre 2021 par : Mmes Bonfanti-Dossat, Gosselin, M. Bascher, Mme Belrhiti, MM. Burgoa, Brisson, Calvet, Bonhomme, Belin, Bouchet, Gremillet, Mme Delmont-Koropoulis, M. Milon, Mmes Joseph, Lherbier, M. Henri Leroy.

Photo de Christine Bonfanti-Dossat Photo de Béatrice Gosselin Photo de Jérôme Bascher Photo de Catherine Belrhiti Photo de Laurent Burgoa Photo de Max Brisson Photo de François Calvet Photo de François Bonhomme 
Photo de Bruno Belin Photo de Gilbert Bouchet Photo de Daniel Gremillet Photo de Annie Delmont-Koropoulis Photo de Alain Milon Photo de Else Joseph Photo de Brigitte Lherbier Photo de Henri Leroy 

Après l’alinéa 11

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Les éléments de preuve éventuellement collectés lors d’une surveillance des communications téléphoniques ou électroniques ne peuvent servir que dans le cadre de l’enquête pour laquelle cette surveillance a été ordonnée. » ;

Exposé Sommaire :

Cet amendement propose de ne rendre utilisable les résultats d’une surveillance téléphonique et/ou électronique que pour la seule procédure dans le cadre de laquelle elle a été autorisée par un juge des libertés et de la détention afin de renforcer le secret professionnel des avocats.

Dans sa forme actuelle, tel qu’il est rédigé, l’article 3 ne permet pas d’empêcher certaines dérives observées au cours d’affaires récentes. Le garde des Sceaux, ministre de la justice, s'est d'ailleurs lui-même déjà exprimé par le passé contre ces méthodes.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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