Amendement N° 52 rectifié (Rejeté)

Démocratisation du sport

Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Défavorable
( amendement identique : )

Déposé le 18 janvier 2022 par : MM. Mandelli, Karoutchi, Gold, Husson, Lefèvre, Jean Pierre Vogel, Bernard Fournier, Mme Garnier, MM. Burgoa, Panunzi, Mme Chauvin, M. Le Gleut, Mme Demas, MM. Chaize, Anglars, Bonhomme, Tabarot, Genet.

Photo de Didier Mandelli Photo de Roger Karoutchi Photo de Éric Gold Photo de Jean-François Husson Photo de Antoine Lefèvre Photo de Jean Pierre Vogel Photo de Bernard Fournier Photo de Laurence Garnier Photo de Laurent Burgoa 
Photo de Jean-Jacques Panunzi Photo de Marie-Christine Chauvin Photo de Ronan Le Gleut Photo de Patricia Demas Photo de Patrick Chaize Photo de Jean-Claude Anglars Photo de François Bonhomme Photo de Philippe Tabarot Photo de Fabien Genet 

Après l’article 11 quater

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 332-16 du code du sport est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« L’arrêté est pris dans un délai de deux mois à compter de la connaissance des faits par l’administration. »

Exposé Sommaire :

Le présent amendement propose d’imposer à l’autorité administrative de décider rapidement de l’opportunité de prendre un arrêté d’interdiction de stade. Le délai proposé est de deux mois à compter de la constatation des faits, et non de la réalisation des faits, ce qui laisse un temps suffisant à l’administration pour faire usage d’une telle mesure.

Les mesures de police administrative sont des mesures d’urgence, prises en attendant que l’autorité judiciaire n’engage une procédure et ne prononce une interdiction de stade. Ces mesures ne peuvent pas s’entendre comme des sanctions prises plus de deux mois après la constatation des faits.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cet amendement.

Inscription
ou
Connexion