Les amendements de Bruno Belin pour ce dossier

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J'ai cosigné cet amendement, parce que c'est un véritable enjeu pour les territoires. On a beaucoup parlé depuis le début de nos débats de la fin du numerus clausus. Mais celui-ci a été remplacé, chacun le sait, par un numerus apertus qui crée de grandes disparités entre les territoires, parce que les universités n'ont ni les mêm...

L'amendement de Mme Brulin me semble intéressant : il met bien en avant le fait que Parcoursup est un boulet !

On parle ici des études d'infirmier, mais il y a un problème équivalent pour les études en pharmacie : au dernier concours d'entrée en deuxième année, 471 places sont restées vacantes ; nous avons alerté Sylvie Retailleau, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, sur le sujet. Personne aujourd'hui n'est capable d'expliquer à un...

J’ai cosigné cet amendement, parce que c’est un véritable enjeu pour les territoires. On a beaucoup parlé depuis le début de nos débats de la fin du numerus clausus. Mais celui-ci a été remplacé, chacun le sait, par un numerus apertus qui crée de grandes disparités entre les territoires, parce que les universités n’ont ni les mêm...

J’ai cosigné cet amendement, parce que c’est un véritable enjeu pour les territoires. On a beaucoup parlé depuis le début de nos débats de la fin du numerus clausus. Mais celui-ci a été remplacé, chacun le sait, par un numerus apertus qui crée de grandes disparités entre les territoires, parce que les universités n’ont ni les m...

J’ai cosigné cet amendement, parce que c’est un véritable enjeu pour les territoires. On a beaucoup parlé depuis le début de nos débats de la fin du numerus clausus. Mais celui-ci a été remplacé, chacun le sait, par un numerus apertus qui crée de grandes disparités entre les territoires, parce que les universités n’ont ni les m...

L’amendement de Mme Brulin me semble intéressant : il met bien en avant le fait que Parcoursup est un boulet !

L’amendement de Mme Brulin me semble intéressant : il met bien en avant le fait que Parcoursup est un boulet !

On parle ici des études d’infirmier, mais il y a un problème équivalent pour les études en pharmacie : au dernier concours d’entrée en deuxième année, 471 places sont restées vacantes ; nous avons alerté Sylvie Retailleau, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, sur le sujet. Personne aujourd’hui n’est capable d’expliquer à un...

On parle ici des études d’infirmier, mais il y a un problème équivalent pour les études en pharmacie : au dernier concours d’entrée en deuxième année, 471 places sont restées vacantes ; nous avons alerté Sylvie Retailleau, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, sur le sujet. Personne aujourd’hui n’est capable d’expliquer à un...

Peut-être le numerus clausus a-t-il été trop abaissé dans les années 1990 ; peut-être n’a-t-on pas suffisamment tenu compte, à cette époque, des défis démographiques qui se profilaient. Je me tourne à présent vers ceux d’entre nous qui souhaitent, par leurs amendements, instaurer des mesures de coercition. Chers collègues, la menace es...

… ou d’un autre département, il arrivera en faisant la grimace. Il ne sera absolument pas motivé ; et un médecin qui n’est pas motivé ne sera pas assez à l’écoute de sa patientèle.

Ce serait une première étape vers la médecine à deux vitesses. La menace du déconventionnement est certes une réalité ; mais, sans aller si loin, force est de constater que la médecine salariale cherche tous les jours à recruter. Regardez le nombre de postes de médecin coordonnateur proposés dans les Ehpad : vous en trouverez demain matin auta...

Peut-être le numerus clausus a-t-il été trop abaissé dans les années 1990 ; peut-être n'a-t-on pas suffisamment tenu compte, à cette époque, des défis démographiques qui se profilaient. Je me tourne à présent vers ceux d'entre nous qui souhaitent, par leurs amendements, instaurer des mesures de coercition. Chers collègues, la menace es...

… ou d'un autre département, il arrivera en faisant la grimace. Il ne sera absolument pas motivé ; et un médecin qui n'est pas motivé ne sera pas assez à l'écoute de sa patientèle.

Ce serait une première étape vers la médecine à deux vitesses. La menace du déconventionnement est certes une réalité ; mais, sans aller si loin, force est de constater que la médecine salariale cherche tous les jours à recruter. Regardez le nombre de postes de médecin coordonnateur proposés dans les établissements d'hébergement pour personnes...