Interventions de Didier Boulaud

La « bien curieuse affaire de Nantes », pourriez-vous dire, madame la ministre !

C’est peine perdue !

Oh là !

M. Didier Boulaud. Et cela se passe chez Christian Estrosi ? Cette ville n’est pas tenue !

Mais que fait le maire ?

Avec onze autres de vos collègues !

Cela n’a rien à voir !

M. Didier Boulaud. Vous verrez, cher collègue, quand vous serez dans l’opposition ! Cela vous fera du bien…

Vite, une loi en urgence !

M. Didier Boulaud. C’est l’ouverture !

Vous nous faites travailler pour des clopinettes !

Tentative de débauchage ratée ! On ne se laissera pas prendre ! Ça ne marche pas avec moi, je ne m’appelle pas Besson !

C’est un peu « capilotracté » !

C’est la journée des transfuges !

La liste s’est perdue !

Il n’y a que des transfuges !

Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État, mes chers collègues, la piraterie maritime constitue un fléau à caractère international. La piraterie « moderne » désigne aujourd’hui un ensemble d’infractions de droit commun commises dans un espace échappant à la juridiction d’un seul État. Hier dans le détroit de Malacca, aujourd’hui au ...

… ce qui n’est pas forcément un bon signe en ce moment ! En réalité, tout le monde l’a compris, ce sont les instituts de sondage qui gouvernent et légifèrent dans le pays !

M. Didier Boulaud. À l’évidence, notre pays est mené à la godille ! Les Français n’en sont heureusement pas dupes en ce glorieux troisième anniversaire présidentiel ! Vous en conviendrez, mes chers collègues, il est plus que temps de changer de capitaine !

Il n’y est pour rien, il vient d’arriver !