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Nous sommes ici au Sénat très vigilants sur l’évolution des finances publiques. D’ailleurs, lors de la séance de questions d’actualité au Gouvernement, M. le rapporteur général a lui-même interrogé M. Le Maire à ce sujet, en lui faisant même un peu la leçon ! Par ailleurs, il faut admettre que la version finale de ce texte est défigurée au re...
Madame la ministre, si le sport permet de transmettre des valeurs, reconnaissons que, en matière de respect, il reste encore fort à faire dans le football. Depuis plusieurs mois, nous constatons en France, comme chez nos voisins européens, une multiplication et une aggravation des actes violents lors de rencontres, dans les stades ou à leurs ab...
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, au début du mois d'octobre, nos collègues du groupe Les Républicains nous ont promis un contre-budget, un budget responsable, un budget d'équilibre, le budget d'une majorité sénatoriale à la hauteur de ses responsabilités. À l'issue de nos soixante-dix heures de débats, ce contr...
M. Didier Rambaud. Relisant votre manifeste d'il y a deux mois
Je vous invite tous à le lire, mes chers collègues : c'est beau, c'est bleu, c'est grand !
Le président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale, Olivier Marleix, défendait ce projet comme un rempart à « la politique du chien crevé au fil de l'eau », reprenant ainsi l'expression d'André Tardieu, qui fut trois fois président du Conseil sous la IIIe République.
Je dis quelques mots sur la première partie. Dès le début de l'examen du texte, l'amendement du président Retailleau sur le quotient familial a été rejeté par vos amis centristes, rejet bientôt suivi d'un nouveau revers pour le groupe majoritaire, sur l'assurance vie. Autrement dit, vous êtes victimes de votre majorité relative ; eh oui, vous ...
On ne compte plus les taxes nouvelles votées à votre corps défendant par vos amis centristes, sans compter les nombreuses créations de niches fiscales. Cette première partie, ce n'est pas votre budget, c'est le manifeste politique de l'Union Centriste ; reconnaissons-le ! Si la première partie se résume à des critiques injustifiées, qui sont ...
… et met en lumière nos désaccords.
Les crédits du sport supprimés, l'année même des jeux Olympiques ; aucun budget pour la politique migratoire ; rejet en bloc de la mission « Cohésion des territoires » et, corrélativement, disparition de la politique du logement ; fin de la mission « Plan de relance » ; et j'en passe !
Les crédits de toutes ces missions ont été rejetés, pour des raisons que je peine encore à comprendre. Vous nous dites qu'il s'agit de marquer un désaccord politique ; mais vous pouviez proposer un contre-budget ! Telle était d'ailleurs votre ambition de départ, que vous n'avez cessé de répéter dans la presse.
Mais, au pied du mur, vous n'avez su construire une alternative crédible. Ne nous y trompons pas : si vous avez une majorité, vous êtes responsables du texte que vous rendez. Vous demandez que les apports du Sénat soient conservés. Or on ne sait même plus vraiment de quoi vous parlez.
De la disparition comme par magie de la dette covid ? Doit-on comprendre que, l'ayant retirée du texte, vous nous en avez débarrassés ? Voilà qui, comme par miracle, vient améliorer encore votre solde… La gauche en a rêvé, vous l'avez fait !
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, au début du mois d’octobre, nos collègues du groupe Les Républicains nous ont promis un contre-budget, un budget responsable, un budget d’équilibre, le budget d’une majorité sénatoriale à la hauteur de ses responsabilités. À l’issue de nos soixante-dix heures de débats, ce contr...
Voulez-vous plutôt parler des centaines de milliers de postes de fonctionnaires supprimés ? Du reste, on ne sait pas même où vous les supprimeriez. Dans l'éducation nationale ? Dans la police ? Chez les magistrats ?
M. Didier Rambaud. Relisant votre manifeste d’il y a deux mois
M. Didier Rambaud. Chacun peut consulter votre amendement, il est public. Vous n'avez pas eu le courage d'aller au-delà de la formule incantatoire et de nous dire où vous voudriez supprimer ces postes !
Je vous invite tous à le lire, mes chers collègues : c’est beau, c’est bleu, c’est grand !
Monsieur le rapporteur général, mettons que, demain, vous soyez aux responsabilités.
Le président du groupe Les Républicains à l’Assemblée nationale, Olivier Marleix, défendait ce projet comme un rempart à « la politique du chien crevé au fil de l’eau », reprenant ainsi l’expression d’André Tardieu, qui fut trois fois président du Conseil sous la IIIe République.