cosignée par Annie David, Éliane Assassi, Évelyne Didier, Gélita Hoarau, Hélène Luc, Josiane Mathon-Poinat, Marie-France Beaufils, Michelle Demessine, Nicole Borvo Cohen-Seat, François Autain, Gérard Le Cam, Guy Fischer, Ivan Renar, Jack Ralite, Jean-Claude Danglot, Jean-François Voguet, Michel Billout, Pierre Biarnès, Robert Bret, Robert Hue, Roland Muzeau & Thierry Foucaud
Mesdames, Messieurs, Au début de l'année, le groupe multinational de télécommunication ALCATEL-LUCENT annonçait un plan de restructuration touchant nombre de ses unités à travers le monde.
12 500 emplois seraient supprimés au total, c'est un chiffre bien plus élevé que les 9 000 prévus lors de la fusion des deux géants des télécoms quelques mois auparavant.
Il représente près de 16 % de l'effectif total de la nouvelle société (79 000 salariés). 1500 de ces disparitions d'emplois concernent la France.
En Île-de-France, 732 emplois sont appelés à disparaitre sur les trois sites de Nozay, Chateaufort et Vélizy.
À ce chiffre, il faut bien sûr ajouter celui des emplois supprimés chez les prestataires de services.
Le Groupe ALCATEL LUCENT est né de l'absorption par le français ALCATEL de l'américain LUCENT Technologies en avril 2006. L'objectif de ce nouvel ensemble étant de devenir le numéro deux mondial des équipementiers en télécommunications et le...
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