24 mars 2011

Proposition de loi N° 374 (2010-2011)

tendant à transférer la gestion, le prélèvement et le versement des pensions alimentaires à la caisse d'allocations familiales

Extrait

Mesdames, Messieurs, Chaque année, 120 000 nouveaux enfants vivent le divorce de leurs parents.

Ainsi, en France on estime que 45 % des couples divorcent ou se séparent.

La situation des familles a considérablement évolué depuis trente ans, lorsque étaient stigmatisés les « enfants de divorcés ». Familles recomposées, gardes alternées, c'est toute la société qui s'est aujourd'hui ouverte à cette nouvelle donne sociétale.

D'après le rapport sur l'état des inégalités en France (2007) de l'Observatoire des inégalités, 41, 7 % des familles monoparentales sont pauvres.

Élever seul(e) ses enfants relève parfois de l'exploit quand il faut faire face aux dépenses, aux emplois mal payés, se résigner à un emploi de temps partiel ou encore à concilier vie professionnelle et éducation des enfants, au prix de frais de garde élevés.

Si les recours pour non-paiement de pension alimentaire sont punis dans 98 % des cas, peu de parents font la démarche de porter...

Consulter le document complet sur le site du Sénat

(version pdf)

Mots-clés

caisse d'allocations familiales
famille
pensions alimentaires
société
sécurité sociale

1 commentaire :

Le 19/05/2014 à 10:38, L.D. a dit :

Avatar par défaut

Bonjour,

Je réalise actuellement un étude sur le mécénat dans le cadre du spectacle vivant. Je m'étonne de ce que la possible éligibilité ainsi offerte à des SAS nationales n'est pas été étendue à d'autres sociétés à actionnariat exclusivement public. Bien évidemment, je songe ici aux sociétés publiques locales (SPL). L'amendement aurait pu tout à fait rendre facultative l'actionnariat étatique sans, me semble-t-il, modifier foncièrement l'esprit du texte. Je vous saurais donc gré de bien vouloir m'éclairer sur les motifs de ce choix.

Cordialement,

Vous trouvez ce commentaire constructif : non neutre oui

Inscription
ou
Connexion