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Agriculture


Les interventions de François Fortassin


Les amendements de François Fortassin pour ce dossier

29 interventions trouvées.

a indiqué que le défrichage de la forêt amazonienne était lié à l'importance de la culture sur brûlis et relevé l'attachement des autorités brésiliennes à démontrer leur attitude responsable sur cette zone géographique. D'autres espaces naturels sont également menacés au Brésil, a-t-il ajouté, notamment la sierra brésilienne (sertão). Enfin, il...

Soulignant le sentiment d'écoeurement et d'incompréhension d'éleveurs qui, bien que passionnés par leur métier, ne sont plus en mesure de l'exercer dans des conditions satisfaisantes et ne se voient proposer comme solution que d'augmenter la taille de leurs troupeaux, M. François Fortassin, rapporteur, a cependant tenu à énumérer les atouts de ...

Soulignant que l'élevage pastoral s'étendait, dans certains départements de montagne, sur 25 à 30 % du territoire, M. François Fortassin, rapporteur, a fait valoir l'expérience encourageante des Hautes-Pyrénées où, à l'initiative du conseil général, ont été mises en place des mesures de soutien aux bergers et éleveurs gardiens et à leurs condit...

a ajouté que cet élevage totalement extensif permettait de faire garder des troupeaux de 5.000 à 10.000 têtes par quelques bergers seulement.

a déclaré qu'au lieu d'être « ébloui » par les explications du ministre, il n'avait reçu aucun éclaircissement répondant à ses interrogations. Ajoutant que le Gouvernement traitait le Parlement d'une façon singulière, il a estimé que le débat engagé était « surréaliste » puisque la commission des affaires économiques du Sénat discutait d'un pro...

a observé qu'un troupeau de 300 brebis pouvait être élevé dans des endroits où, à l'inverse, il est impossible d'élever 25 vaches.

ayant fait remarquer que la saisonnalité du produit était une donnée importante, M. Jean-Marie Aurand a acquiescé, soulignant que les régions dans lesquelles la saisonnalité est marquée étaient davantage concernées.

a suggéré de valoriser le lien « affectif » entre l'éleveur et son troupeau, qu'il a estimé unique, ainsi que la dimension environnementale de l'élevage.

Précisant qu'il fallait quinze ans pour mettre en place un troupeau, M. François Fortassin, rapporteur, a rapporté une expérience menée par un éleveur dans son village, ayant mis en évidence l'influence positive de l'attention particulière portée par ce dernier à son cheptel.

Mettant en avant le fait que les producteurs bovins, confrontés au même problème, avaient su le résoudre, M. François Fortassin, rapporteur, s'est dit optimiste.

Se rapportant à une expérience familiale, M. François Fortassin, rapporteur, a regretté que les signes de qualité ne soient pas davantage valorisés.

A M. François Fortassin, rapporteur, qui remarquait la complexité du dispositif, Mme Marie-Agnès Vibert a indiqué que l'intention du ministère était de faire en sorte que l'exploitant puisse justifier lors d'un contrôle la présence de mares, de haies ou de bosquets dans son exploitation, afin de rendre possible le calcul de l'équivalent en surf...

Rapportant le moral dégradé des éleveurs, M. François Fortassin, rapporteur, a dit craindre qu'ils ne reçoivent mal ces nouvelles directives et ne perçoivent les directions départementales de l'agriculture (DDA) uniquement comme des organismes de contrôle. S'il est toujours intéressant de proposer une prime, a-t-il ajouté, il faut tenir compte ...

a jugé que les éleveurs, déjà démoralisés dans leur activité, risquaient fort de percevoir ces modifications comme des contraintes supplémentaires et être tentés de les refuser.

Observant que les autres primes ne faisaient pas de différences entre ovins et bovins, M. François Fortassin, rapporteur, lui a demandé ce que l'ICHN représentait pour les ovins spécifiquement.

Observant que l'élevage ovin était un élevage environnemental par excellence, M. François Fortassin, rapporteur, a estimé que la Commission européenne devrait y être davantage sensible, en raison de ses préoccupations écologiques.

Notant que l'élevage ovin était la dernière activité avant la friche du fait que les moutons peuvent accéder à des pâturages inaccessibles aux bovins, M. François Fortassin, rapporteur, a insisté sur le fait que l'Etat français comme l'Union européenne devraient davantage en tenir compte.

a rapporté que 80 % des exploitations des Pyrénées élevaient les deux types de troupeaux, ovin et bovin, très peu étant spécialisées dans un seul type de bétail. Il a cependant précisé que ces animaux ne pâturaient pas sur les mêmes espaces.

ayant fait remarquer que son argumentation reposait, non sur l'espèce, mais sur le fait de faire pâturer du bétail sur des zones fragiles, Mme Marie-Agnès Vibert a indiqué qu'il faudrait alors établir un zonage rassemblant de tels espaces fragiles.

a regretté que la suppression des ovins de certaines zones de transhumance dans les Alpes et dans les Pyrénées ne les transforme systématiquement en zones d'avalanche, alors que leur présence permettait, du fait qu'ils y broutaient l'herbe, de favoriser l'adhésion de la neige au sol.