Les amendements de Gérard César pour ce dossier

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La question concerne notamment les jeunes agriculteurs, qu'il faut absolument inciter à s'assurer. L'Europe, qui finance à hauteur de 55 % l'assurance-récolte, devra répondre positivement. Reste la question, majeure, de la réassurance : lorsque j'étais rapporteur de la loi d'orientation agricole, Bercy ne voulait pas en entendre parler...

Je partage la prévention du président Lenoir sur les dispositions imposant des rapports du Gouvernement. Mais en l'occurrence, l'on pourrait solliciter une étude.

Lorsqu’un jeune agriculteur s’installe, il peut, à sa demande, bénéficier de la DJA, la dotation jeunes agriculteurs, et des prêts bonifiés. Un jeune qui vient de s’installer est, par définition, vulnérable financièrement. La situation économique de son exploitation peut être aggravée par des aléas climatiques ou sanitaires. Pour pouvoir béné...

Tout à fait ! Cette proposition de loi peut être fondamentale. Pourquoi ne pas supprimer la DPI et en reporter les crédits sur la RSEA ? La DPI sert davantage les marchands de matériel agricole que les agriculteurs. L'État se désengageant de plus en plus de l'assurance récolte, désormais financée par l'Union européenne, je préfèrerais qu'on abo...

L'Observatoire des prix et des marges, qui joue un rôle essentiel dans la discussion sur les prix, n'est pas cité.

Quand un jeune agriculteur s'installe, son objectif est, en souscrivant une assurance, de couvrir le prix de revient. Pourquoi ne pas inclure les aléas sanitaires dans le texte ?