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Interventions en commissions de Gilbert Barbier


1327 interventions trouvées.

On pourrait préciser un accès au soin de « qualité égale » s'il on fait référence à certains types d'opérations.

L'inclusion consiste bien comme en médecine en l'introduction d'un corps étranger. Ces nuances apparaissent bien subtiles.

Nous avons été interpellés cet après-midi sur les différences entre le texte que vous avez signé et celui qui nous est proposé par le Gouvernement. Au-delà du détail des droits nouveaux, il semble qu'il existe un problème plus philosophique sur le préambule du titre II de l'Ani, qui porte sur l'état d'esprit des partenaires sociaux lors des nég...

Vous avez indiqué, dans les réponses écrites que vous nous avez adressées, que la clé de la réussite dans l'accompagnement par les parlementaires et les grands élus locaux de la politique régionale de santé réside dans leur information régulière et dans le contact direct entre ces élus et le directeur général de l'ARS, et qu'il faut dès lors as...

La position de l'Eglise a-t-elle évolué par rapport au Pacs, qui est surtout utilisé par les couples hétérosexuels et n'apporte pas les mêmes droits que le mariage ?

Ce rapport ne pourrait-il pas être remis par un organisme indépendant en lieu et place du Gouvernement ? On ne peut être juge et partie.

Mme Génisson a bien posé le problème. L'EFS, qui bénéficie d'un statut particulier, livre une concurrence aux services des CHU aujourd'hui, ce qui multiplie par deux les examens. Quant à la question du don éthique du sang, elle mérite d'être abordée, mais dans le cadre d'un autre texte.

Le texte place l'ensemble de la phase pré-analytique sous la responsabilité du professionnel de santé, ce qui est un changement considérable. Il est cependant un élément très important qui devrait toujours relever de la responsabilité du laboratoire, c'est le recueil des données cliniques. Tel est le premier changement proposé par mon amendemen...

Les pharmacies rurales, qui sont déjà dans une situation très difficile, rendent aujourd'hui ce service. Ce n'est pas une question d'argent puisque pour être dépositaires des échantillons, elles ne perçoivent que 3 euros par mois. En revanche, compte tenu du vide juridique actuel, que se passera-t-il en cas d'incident ?

Le texte dispose pour l'heure que la phase pré-analytique peut être réalisée dans un établissement de santé, au domicile du patient ou dans des lieux en permettant la réalisation. Pourquoi refuser d'inclure les pharmacies, au moins certaines d'entre elles ? Les établissements de santé aussi doivent remplir certaines conditions !

Je ne vois pas ce qui empêche de mentionner explicitement les pharmacies à l'alinéa 5. Les pharmacies sont dans une zone de non-droit depuis trois ans...

A mon époque, le biologiste médical partait tôt le matin visiter ses clients à domicile avec sa valise à prélèvements. Aujourd'hui, la financiarisation des laboratoires a raréfié les prélèvements à domicile, qui ne sont réalisés que si l'état du patient l'exige. Nous devons redonner un sens médical à la biologie.

Il peut y avoir un laboratoire proche mais situé dans un département voisin. C'est pourquoi je propose de retenir un rayon de cinquante kilomètres.

Le problème, c'est la concurrence entre laboratoires spécialisés et établissements publics hospitaliers. J'admets bien volontiers que ces derniers ont priorité - il s'agit d'argent public. Mais dans les cas où il n'y a pas de solution à proximité, l'appel d'offres s'impose. Cela existe entre hôpitaux d'ailleurs, vous le savez bien. Ils négocien...

Cet amendement a déjà été présenté trois ou quatre fois, dans la loi « Hôpital, patients, santé, territoires » (HPST), dans la loi Fourcade...

La biologie médicale relève de la médecine. Ici, nous ouvrons une brèche, et allons à l'encontre des autres dispositions du texte. Les médecins et pharmaciens sont soumis à un code de déontologie, au respect du serment d'Hippocrate, les scientifiques, non.

Pourquoi donc ? L'amendement vise uniquement une date de référence.