a estimé que les questions ferroviaires nécessitaient une réelle ambition politique. Rappelant que le transport de fret dans l'arc alpin était passé en vingt ans de 60 millions de tonnes à 110 millions de tonnes, il a souligné l'attachement des élus locaux au projet Lyon-Turin. Il s'est félicité, de ce point de vue, de la volonté politique manifestée par le Gouvernement pour réaliser ce projet mais il a souhaité cependant savoir si la SNCF ferait également preuve d'ambition en matière de fret.