Monsieur le secrétaire d'État, vous n’avez répondu qu’à la problématique des abeilles, omettant de parler de la prise en charge financière de la destruction des nids, qui est absolument indispensable.
En effet, comme je l’ai dit tout à l'heure, les pompiers n’intervenant plus de manière automatique, les particuliers essaient de détruire eux-mêmes comme ils le peuvent ces nids, ce qui les expose à des accidents potentiels, ou font intervenir des entreprises privées, ce qui représente un coût relativement élevé.
J’ai moi-même eu l’occasion de constater, en Charente, l’existence d’un nid de frelons asiatiques à hauteur d’enfant dans un terrain privé situé juste à côté d’un abribus. Certes, c’était en hiver, et il n’y avait donc pas de danger. Mais, à une autre période, quel danger pour les enfants s’ils décidaient de lancer des pierres sur le nid ou de tenter de le détruire !