Eu égard au chiffre fourni par M. le rapporteur et à l’argumentaire développé par M. le ministre, j’aurais presque envie de le retirer.
Mais un jeune qui, en raison de la fin de son contrat, va perdre son emploi, ses collègues, une vie sociale, ne mérite-t-il pas d’être réconforté par le versement d’une prime de précarité ? L’État ne pourrait-il pas lui accorder un petit complément ?