Pour assurer l'application de la loi de 2005, les élus locaux sont, certes, des partenaires essentiels. Mais, au-delà, je souhaite mobiliser tous les acteurs concernés par le champ du handicap pour mettre notre intelligence collective au service des personnes handicapées.
La transparence, c'est la condition de la confiance sur laquelle repose notre travail en commun.
Ainsi, j'ai tenu à rendre public un rapport relatif au handicap, qui a été remis au mois d'octobre 2011, par lequel trois inspections pointent les défaillances qu'a subies la mise en application de la loi de 2005. De fait, il me semblait urgent de sortir de la situation de non-dit et de défiance qui s'installait entre l'État, les associations de personnes handicapées, les collectivités territoriales et, plus généralement, les acteurs du monde économique.