La loi du 12 mai 2010 relative à l’ouverture à la concurrence et à la régulation du secteur des jeux d’argent et de hasard en ligne devait apporter une bouffée d’oxygène au financement du sport. Malheureusement, il n’en est rien.
Je souhaite également vous interroger sur l’utilisation des 24 millions d’euros économisés du fait de la suppression du droit à l’image collective.
Comme le suggérait mon collègue député Henri Nayrou, ne serait-il pas opportun d’utiliser une partie de cette somme pour créer un fonds de compensation pour la retraite des sportifs professionnels ? Cela permettrait d’ouvrir la voie à un véritable statut du sportif de haut niveau, dossier sur lequel nous connaîtrons, je l’espère, des avancées prochaines.
Enfin, nous souhaitons bonne chance à la candidature d’Annecy pour la désignation par le Comité international olympique, ...