M. Jérôme Cahuzac, ministre délégué. Si jamais l’amendement était voté, c’est-à-dire si le Sénat décidait de suivre l’opposition UMP et de ne pas faire confiance aux engagements formels que j’ai pris – j’ai déjà du mal à comprendre une telle position de la part de l’opposition, mais je ne peux l’imaginer de la part de la majorité sénatoriale !