Si je me félicite, bien sûr, moi aussi, du dépôt de cet amendement, et je le voterai des deux mains, je souhaite revenir sur les propos de M. le ministre, évoquant la crainte des collectivités de manquer de recettes.
La mienne a versé au FPIC 500 000 euros en 2012. On nous avait annoncé 1, 4 million d’euros pour 2013, c’est-à-dire un quasi-triplement. Finalement, nous devrons payer 1, 9 million d’euros, soit encore 30 % de plus. C’est vous dire combien les collectivités ont du mal à prévoir des budgets et à trouver les recettes correspondantes.