Je partage en tout point ce que vient de dire notre collègue Mézard. Je ne crois pas qu'une grève de la faim soit une façon d'agir pour un maire. En outre, qu'un élu en place depuis onze ans ne s'interroge pas sur ses responsabilités m'interpelle vraiment.
Sur le fond, je ne comprends pas que l'État exige des collectivités locales des efforts qu’il ne s'impose pas à lui-même. À mes yeux, c'est l'un des défauts majeurs de ce projet de budget. C'est la raison pour laquelle nous suivrons la commission des finances.